Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note morose ce jeudi matin, le goût pour les investissements risqués ayant faibli dans le sillage de résultats chinois décevants.
Les valeurs régionales étaient déjà sur la sellette suite à la contre-performance de Wall Street dûe à des chiffres peu reluisants pour l'emploi et l'activité manufacturière.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,3%, le Hang Seng de Hong Kong 0,7% et le Nikkei 225 japonais 0,8%.
Il a en effet été signalé en milieu de session que la valeur finale du baromètre de l'activité chinoise établi par HSBC avait subi une érosion depuis les 51,6 de mars jusqu'à 50,4 au lieu des 50,5 avancés au préalable.
Ces statistiques sans éclat survenaient au lendemain d'autres émanant du gouvernement et mettant en relief un indice des directeurs des achats manufacturiers en repli de 50,9 vers 50,6 sur la même période.
Aux Etats-Unis, la faiblesse du marché du travail et des industries avait ravivé les inquiétudes au sujet de la solidité de la relance nationale.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était.
Sydney s'est pour sa part encore éloignée de son pic de cinq ans établi la semaine passée, les entreprises spécialisées dans les matières premières souffrant des résultats de la Chine.
Ils sont ainsi fortement dépendants des besoins chinois en produits bruts.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi respectivement de 2 et 2,1%, leurs rivaux Medusa Mining et Mirabela Nickel faisant bien pire avec 9,1 et 11,1%.
Hong Kong était elle aussi sous pression pour les mêmes raisons.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company se repliait ainsi de 1,2% après que les cours du métal rouge aient plongé à leur niveau le plus bas depuis octobre 2011 dans l'anticipation d'un manque d'appétit de la part du premier consommateur mondial.
Les poids lourd des hydrocarbures CNOOC et PetroChina lui emboîtaient le pas avec 2,2 et 3%.
Tokyo reculait pour sa part pour la quatrième journée consécutive, le yen se maintenant autour d'un pic de deux semaines face au dollar U.S. avec une paire USD/JPY sombrant à 97,07, s'éloignant encore un peu de la barre fatidique des 100.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plutôt optimiste, les observateurs guettant les conclusions de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne avec l'espoir d'une baisse des taux.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient toutefois une baisse de 0,3%, alors que celles sur le CAC 40 français tablaient sur un sursaut de 0,8%, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0,2% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,3%.
L'Espagne et l'Italie fourniront aujoud'hui les chiffres de leur activité manufacturière, alors que la France émettra des obligations décennales.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.
Les valeurs régionales étaient déjà sur la sellette suite à la contre-performance de Wall Street dûe à des chiffres peu reluisants pour l'emploi et l'activité manufacturière.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0,3%, le Hang Seng de Hong Kong 0,7% et le Nikkei 225 japonais 0,8%.
Il a en effet été signalé en milieu de session que la valeur finale du baromètre de l'activité chinoise établi par HSBC avait subi une érosion depuis les 51,6 de mars jusqu'à 50,4 au lieu des 50,5 avancés au préalable.
Ces statistiques sans éclat survenaient au lendemain d'autres émanant du gouvernement et mettant en relief un indice des directeurs des achats manufacturiers en repli de 50,9 vers 50,6 sur la même période.
Aux Etats-Unis, la faiblesse du marché du travail et des industries avait ravivé les inquiétudes au sujet de la solidité de la relance nationale.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était.
Sydney s'est pour sa part encore éloignée de son pic de cinq ans établi la semaine passée, les entreprises spécialisées dans les matières premières souffrant des résultats de la Chine.
Ils sont ainsi fortement dépendants des besoins chinois en produits bruts.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi respectivement de 2 et 2,1%, leurs rivaux Medusa Mining et Mirabela Nickel faisant bien pire avec 9,1 et 11,1%.
Hong Kong était elle aussi sous pression pour les mêmes raisons.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company se repliait ainsi de 1,2% après que les cours du métal rouge aient plongé à leur niveau le plus bas depuis octobre 2011 dans l'anticipation d'un manque d'appétit de la part du premier consommateur mondial.
Les poids lourd des hydrocarbures CNOOC et PetroChina lui emboîtaient le pas avec 2,2 et 3%.
Tokyo reculait pour sa part pour la quatrième journée consécutive, le yen se maintenant autour d'un pic de deux semaines face au dollar U.S. avec une paire USD/JPY sombrant à 97,07, s'éloignant encore un peu de la barre fatidique des 100.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement entravées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, diminuant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plutôt optimiste, les observateurs guettant les conclusions de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne avec l'espoir d'une baisse des taux.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient toutefois une baisse de 0,3%, alors que celles sur le CAC 40 français tablaient sur un sursaut de 0,8%, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0,2% et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,3%.
L'Espagne et l'Italie fourniront aujoud'hui les chiffres de leur activité manufacturière, alors que la France émettra des obligations décennales.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.