Investing.com - La livre sterling s'accrochait encore à un pic de trois mois face au dollar U.S. ce mardi, les belles performances de la Chine ayant contribué à une humeur plus enjouée, tandis que son adversaire demeurait plombé par les mauvaises nouvelles du front de l'emploi où il a cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5712 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5700, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5635, son plancher précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,5731, son plafond le plus élevé depuis le 18 juin établi hier.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est également éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait cependant fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août aux Etats-Unis qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,11% pour glisser à 0,8436.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5712 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5700, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5635, son plancher précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,5731, son plafond le plus élevé depuis le 18 juin établi hier.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est également éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait cependant fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août aux Etats-Unis qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,11% pour glisser à 0,8436.