Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mercredi, tirées vers le bas par une série de performances décevantes, tous les yeux se trouvant tournés vers la Banque Centrale Européenne en quête de signes d'une action destinée à juguler la crise de la dette de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.13%, le CAC 40 français de 0.16%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
La BCE était en effet très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Il avait aussi précisé que tout recours à une manoeuvre de ce genre serait conditionné aux difficultés rencontrées par les gouvernements pour se financer et à l'activation du fonds de secours régional afin de lui faire acquérir de ses obligations, en acceptant des conditions draconiennes et une surveillance stricte.
Mais l'agence Standard & Poor's a rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ait besoin de davantage d'aides de la part des bailleurs de fonds de l'Union Européenne.
Le néerlandais ING Groep se trouvait parmi les lanternes rouges, plongeant de 0.75% après avoir annoncé des bénéfices nets de 1.17 milliards d'euros pour le second trimestre, au lieu des 1.26 milliards espérés par les experts.
Les autres acteurs de la finance n'étaient pas mieux placés, le français BNP Paribas dégringolant de 1.25%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de respectivement 1.6 et 0.63%.
La compagnie téléphonique Swisscom a pour sa part dérapé de 1.57% suite à l'aveu de profits nets chutant de 485 vers 468 millions de CHF pour le deuxième trimestre.
Morgan Stanley en a du même coup dégradé son appréciation, passant du neutre au sous-régime.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.26%, les propos Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ainsi que le rapport sur l'inflation de celle-ci étant attendus de pied ferme.
Standard Chartered a rebondi de 5.64% aprèss avoir sombré hier, alors qu'il se disait qu'elle pourrait se contenter de payer jusqu'à 700 millions d'USD afin d'échapper aux accusations de blanchiment d'argent émises par les autorités financières de New York.
L'établissement londonien aurait en effet conspiré avec le gouvernement iranien afin de blanchir des millions de dollars qui auraient pu alimenter des activités terroristes.
Le reste de la City était plus mitigé, la Royal Bank of Scotland prenant 0.53%, Lloyds Banking glissant de 0.25%, HSBC Holdings et Barclays laissant échapper 0.46 et 1%.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton étaient également constrastés, le premier engrangeant 1.37% et le secondd fléchissant de 0.38%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys reculant à l'unisson de 0.4 et 0.6%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume de sa production industrielle, après qu'il ait été montré hier que les commandes enregistrées par les usines nationales avaient plongé de 1.7% en juin, soit presque le double des 1% déjà redoutés.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.13%, le CAC 40 français de 0.16%, et le DAX 30 allemand de 0.17%.
La BCE était en effet très surveillée, en raison de l'espoir qu'elle s'arrange pour rabaisser les taux des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après que Mario Draghi, son président, ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Il avait aussi précisé que tout recours à une manoeuvre de ce genre serait conditionné aux difficultés rencontrées par les gouvernements pour se financer et à l'activation du fonds de secours régional afin de lui faire acquérir de ses obligations, en acceptant des conditions draconiennes et une surveillance stricte.
Mais l'agence Standard & Poor's a rabaissé hier ses perspectives pour la notation grecque de stable vers négative, affirmant que l'aggravation de sa situation économique augmentait les chances qu'elle ait besoin de davantage d'aides de la part des bailleurs de fonds de l'Union Européenne.
Le néerlandais ING Groep se trouvait parmi les lanternes rouges, plongeant de 0.75% après avoir annoncé des bénéfices nets de 1.17 milliards d'euros pour le second trimestre, au lieu des 1.26 milliards espérés par les experts.
Les autres acteurs de la finance n'étaient pas mieux placés, le français BNP Paribas dégringolant de 1.25%, et les allemands Deutsche Bank et Commerzbank de respectivement 1.6 et 0.63%.
La compagnie téléphonique Swisscom a pour sa part dérapé de 1.57% suite à l'aveu de profits nets chutant de 485 vers 468 millions de CHF pour le deuxième trimestre.
Morgan Stanley en a du même coup dégradé son appréciation, passant du neutre au sous-régime.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.26%, les propos Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ainsi que le rapport sur l'inflation de celle-ci étant attendus de pied ferme.
Standard Chartered a rebondi de 5.64% aprèss avoir sombré hier, alors qu'il se disait qu'elle pourrait se contenter de payer jusqu'à 700 millions d'USD afin d'échapper aux accusations de blanchiment d'argent émises par les autorités financières de New York.
L'établissement londonien aurait en effet conspiré avec le gouvernement iranien afin de blanchir des millions de dollars qui auraient pu alimenter des activités terroristes.
Le reste de la City était plus mitigé, la Royal Bank of Scotland prenant 0.53%, Lloyds Banking glissant de 0.25%, HSBC Holdings et Barclays laissant échapper 0.46 et 1%.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton étaient également constrastés, le premier engrangeant 1.37% et le secondd fléchissant de 0.38%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys reculant à l'unisson de 0.4 et 0.6%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume de sa production industrielle, après qu'il ait été montré hier que les commandes enregistrées par les usines nationales avaient plongé de 1.7% en juin, soit presque le double des 1% déjà redoutés.