Suite aux récentes frappes aériennes israéliennes à Beyrouth visant les militants du Hezbollah libanais, le président Joe Biden a chargé le Pentagone d'évaluer et de modifier si nécessaire la présence militaire américaine au Moyen-Orient. La Maison Blanche a annoncé cette directive aujourd'hui, soulignant que cette décision vise à renforcer la dissuasion, protéger les forces et soutenir les objectifs américains dans la région.
Les frappes aériennes, qu'Israël a déclarées être des mesures défensives en réponse aux menaces de groupes soutenus par l'Iran, tels que le Hezbollah et les Houthis du Yémen, ont exacerbé les tensions régionales. Ces frappes ont entraîné de nombreuses victimes, avec des centaines de morts signalés au Liban, et ont suscité des inquiétudes quant à la possibilité d'un conflit régional plus large.
À la lumière de ces développements, le président Biden a été informé à plusieurs reprises aujourd'hui de la situation. La vice-présidente Kamala Harris a également reçu des briefings. L'administration a souligné l'importance de la sécurité du personnel américain dans la région, Biden ordonnant que des mesures soient prises pour protéger les ambassades américaines.
Le contexte de ces événements remonte aux attaques meurtrières du 7 octobre par les militants palestiniens du Hamas, qui ont provoqué la réponse militaire d'Israël non seulement à Gaza mais aussi au Liban. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré que ces actions sont une forme d'autodéfense.
Les opérations militaires en cours ont entraîné des déplacements massifs, presque toute la population de Gaza étant touchée et une crise de la faim émergeant. De plus, l'intensification des hostilités cette semaine a forcé environ 100.000 personnes au Liban à fuir leurs foyers.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.