Investing.com - Les bourses européennes ont bien résisté ce jeudi matin, dans l'expectative de l'état des lieux de l'activité des usines de la région, et de la prise de parole de du chef de son autorité monétaire.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,20%, le CAC 40 français trébuchant de 0,03%, et le DAX 30 allemand frémissant de 0,04%.
Le bourses mondiales bénéficiaient toujours de la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances pour le mois passé.
Celle-ci laissait peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne était aussi sur toutes les lèvres, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, s'apprêtait à rencontrer sous peu son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,20%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,08 et 0,35%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,44 et 1,01%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,21 et 0,92%.
Vivendi raflait pour sa part 2,96% alors qu'il se disait que l'idée d'une dissociation de ses branches télécommunication et médias faisait son chemin.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,17%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings arrachait 0,11% et Lloyds Banking 0,37%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 0,70 et 1,33%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,57 et 0,33%, Polymetal leur emboîtant le pas avec 1,59%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le traitement pulmonaire Anoro, mis au point par GlaxoSmithKline et Theravance, a reçu l'approbation du comité d'évaluation américain, qui devrait ouvrir la voie à un feu vert en décembre, ce qui couronnerait l'année ayant comporté le plus d'autorisations américaine.
Le premier a du coup pris 0,19%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,0&%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un frémissement de 0,01%.
Les autorités européennes feront aujourd'hui connaître le volume de la production industrielle régionale, et Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononocera un discours.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,20%, le CAC 40 français trébuchant de 0,03%, et le DAX 30 allemand frémissant de 0,04%.
Le bourses mondiales bénéficiaient toujours de la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances pour le mois passé.
Celle-ci laissait peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne était aussi sur toutes les lèvres, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, s'apprêtait à rencontrer sous peu son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,20%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,08 et 0,35%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,44 et 1,01%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,21 et 0,92%.
Vivendi raflait pour sa part 2,96% alors qu'il se disait que l'idée d'une dissociation de ses branches télécommunication et médias faisait son chemin.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,17%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings arrachait 0,11% et Lloyds Banking 0,37%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 0,70 et 1,33%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas en reste, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,57 et 0,33%, Polymetal leur emboîtant le pas avec 1,59%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le traitement pulmonaire Anoro, mis au point par GlaxoSmithKline et Theravance, a reçu l'approbation du comité d'évaluation américain, qui devrait ouvrir la voie à un feu vert en décembre, ce qui couronnerait l'année ayant comporté le plus d'autorisations américaine.
Le premier a du coup pris 0,19%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,0&%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient espérer un frémissement de 0,01%.
Les autorités européennes feront aujourd'hui connaître le volume de la production industrielle régionale, et Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononocera un discours.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.