Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, sans que les résultats commerciaux de janvier aient créé d'étonnement, avec les yeux sur la rencontre du G20 de fin de semaine.
En seconde partie de séance européenne, il cédait un peu moins de terrain à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.3475.
Ce dernier a quitté son sommet du jour après que le journal allemand Bild ait affirmé que la Banque Centrale Européenne s'inquiètait de voir le renforcement de l'euro nuire à la relance régionale.
Une étude officielle avait quand à elle signalé ce matin que la production industrielle de la zone euro avait augmenté de 0.7% en décembre, surpassant largement les 0.2% espérés .
La livre sterling a par contre davantage fléchi devant lui, le GBP/USD plongeant de 0.65% pour sombrer à 1.5558, son niveau le plus bas depuis août.
Elle s'est en effet retrouvée sur la sellette après que la Banque d'Angleterre ait déploré dans son rapport que l'inflation avait des chances de se situer vers 2.3% dans deux ans, soit nettement moins que les 1.8% espérés en novembre, avant de repasser au premier trimestre 2016 sous les 2% qu'elle vise.
Elle a ajouté que la croissance économique resterait probablement inférieure à ses niveaux d'avant la crise jusqu'en 2015, et qu'elle se tenait prête à procéder à davantage d'actions stimulatrices.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour déraper à 93.46.
Un réprésentant du G7 avait auparavant fait savoir que le communiqué que ce dernier avait émis exprimait son d'inquiétude au sujet de la rapidité du récent effondrement de la devise nippone, plutôt que de son niveau actuel.
L'organisation avait cependant confirmé son engagement de laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
La prudence était encore plus au goût du jour en rison de l'imminence des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain, bien qu'aucun bouleversement ne soit attendu avant la nomination de son prochain gouverneur.
Le franc suisse a d'autre part fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.09% pour déraper à 0.9163.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.06% pour aller vers 1.0028, l'AUD/USD raflant 0.37% pour monter à 1.0345 et le NZD/USD engrangeant 0.01% pour faire un saut de puce à 0.8405.
La seconde a repris des couleurs après que le baromètre du moral des consommateurs d'Australie aitnettement relevé la tête le mois dernier, laissant à penser que la série de réduction des taux d'intérêt avait consolidé la confiance dans l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.06% pour se situer à 80.06.
Le département d'état au commerce a révélé de son côté que les ventes au détail des Etats-Unis avaient frémi de 0.1% après ajustement pour le mois dernier, conformément aux espérances.
Celles de produits de base, excluant les automobiles, s'élevaient de 0.2% dans le même temps, soit le double des 0.1% envisagés.
En seconde partie de séance européenne, il cédait un peu moins de terrain à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.17% pour se hisser à 1.3475.
Ce dernier a quitté son sommet du jour après que le journal allemand Bild ait affirmé que la Banque Centrale Européenne s'inquiètait de voir le renforcement de l'euro nuire à la relance régionale.
Une étude officielle avait quand à elle signalé ce matin que la production industrielle de la zone euro avait augmenté de 0.7% en décembre, surpassant largement les 0.2% espérés .
La livre sterling a par contre davantage fléchi devant lui, le GBP/USD plongeant de 0.65% pour sombrer à 1.5558, son niveau le plus bas depuis août.
Elle s'est en effet retrouvée sur la sellette après que la Banque d'Angleterre ait déploré dans son rapport que l'inflation avait des chances de se situer vers 2.3% dans deux ans, soit nettement moins que les 1.8% espérés en novembre, avant de repasser au premier trimestre 2016 sous les 2% qu'elle vise.
Elle a ajouté que la croissance économique resterait probablement inférieure à ses niveaux d'avant la crise jusqu'en 2015, et qu'elle se tenait prête à procéder à davantage d'actions stimulatrices.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour déraper à 93.46.
Un réprésentant du G7 avait auparavant fait savoir que le communiqué que ce dernier avait émis exprimait son d'inquiétude au sujet de la rapidité du récent effondrement de la devise nippone, plutôt que de son niveau actuel.
L'organisation avait cependant confirmé son engagement de laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
La prudence était encore plus au goût du jour en rison de l'imminence des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain, bien qu'aucun bouleversement ne soit attendu avant la nomination de son prochain gouverneur.
Le franc suisse a d'autre part fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.09% pour déraper à 0.9163.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.06% pour aller vers 1.0028, l'AUD/USD raflant 0.37% pour monter à 1.0345 et le NZD/USD engrangeant 0.01% pour faire un saut de puce à 0.8405.
La seconde a repris des couleurs après que le baromètre du moral des consommateurs d'Australie aitnettement relevé la tête le mois dernier, laissant à penser que la série de réduction des taux d'intérêt avait consolidé la confiance dans l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.06% pour se situer à 80.06.
Le département d'état au commerce a révélé de son côté que les ventes au détail des Etats-Unis avaient frémi de 0.1% après ajustement pour le mois dernier, conformément aux espérances.
Celles de produits de base, excluant les automobiles, s'élevaient de 0.2% dans le même temps, soit le double des 0.1% envisagés.