Investing.com - Les bourses européennes étaient en légère progression ce mardi, alors que le moral se trouvait renforcé par les bons résultats manufacturiers américains d'hier, qui confirmaient les espoirs de poursuite de la relance, tandis que les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro flottaient toujours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.05%, le CAC 40 français de 0.05%, et le DAX 30 allemand de 0.11%.
Les valeurs ont en effet rebondi hier après qu'il ait été montré que l'activité du secteur secondaire des Etats-Unis avait davantage augmenté en mars qu'espéré, réalisant ainsi son trente-deuxième mois d'amélioration d'affilée.
MAis l'angoisse d'un retour en récession de l'Europe demeurait palpable alors que des chiffres révisés avaient signalé que l'activité manufacturière régionale avait stagné dans le même temps à son plus bas niveau en trois mois, et que le taux de chômage du bloc euro avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%.
La finance se trouvait en pointe, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.87 et 0.95%, et la Deutsche Bank allemande 1.3%.
BNP Paribas avait auparavant annoncé la remontée de ses prévisions de croissance mondiale de 3.1 vers 3.5%, la Deutsche Bank AG faisant de même de 3.2 vers 3.5% également, invoquant la restructuration de la dette grecque et l'augmentation du volume des prêts consentis par la Banque Centrale Européenne.
Bolloré a également raflé 2.39% après que l'assureur Groupama ait affirmé avoir revendu ses 3.1% de la compagnie contrôlée par le milliardaire Vincent Bolloré, et ne plus en contrôler directement la moindre part.
Les constructeurs automobiles étaient par contre en déclin, les piliers germaniques BMW et Volkswagen reculant de 0.59 et 0.2%, tandis que leur collègue d'outre-Rhin Peugeot dérapait de 0.64%.
Le Comité des Constructeurs Français d’Automobiles avait déclaré en fin de semaine que le marché national, le second ducontinent après l'Allemagne, avait plongé de 24% pour se situer à 197 033 véhicules en mars, aggravant les 20% de plongée déjà déplorés en février.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.1%, tiré vers le haut par la grande forme dans le domaine énergétique.
Cairn Energy se trouvait au tableau d'honneur avec une envolée de 5.32%, Essar Energy se contentant de 1.3% et BP de 0.37%.
Le premier avait déclaré en début de journée l'acquisition l'Agora Oil & Gas, une compagnie privée norvégienne détenant des actifs non exploités à explorer, estimer et développer au Royaume-Uni et dans la partie norvégienne de la Mer du Nord, au cours d'une opération comportant des liquidités et des actions.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont par contre souffert, laissant échapper 0.14 et 0.55%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys tirant leur épingle du jeu avec 0.55 et 0.54% d'amélioration.
La City demeurait pour sa part mitigée, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.54%, Barclays bondissant de 1.01%, Lloyds Banking de 0.83% et HSBC Holdings arrachant 0.21%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient un passage à vide de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un sursaut de 0.01%.
Les autorités américaines devrait pour leur part divulguer cet après-midi leur mesure du volume des commandes passées auprès des usines du pays, tandis que leur Réserve Fédérale fera de même avec le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion d'orientation politique.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.05%, le CAC 40 français de 0.05%, et le DAX 30 allemand de 0.11%.
Les valeurs ont en effet rebondi hier après qu'il ait été montré que l'activité du secteur secondaire des Etats-Unis avait davantage augmenté en mars qu'espéré, réalisant ainsi son trente-deuxième mois d'amélioration d'affilée.
MAis l'angoisse d'un retour en récession de l'Europe demeurait palpable alors que des chiffres révisés avaient signalé que l'activité manufacturière régionale avait stagné dans le même temps à son plus bas niveau en trois mois, et que le taux de chômage du bloc euro avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%.
La finance se trouvait en pointe, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.87 et 0.95%, et la Deutsche Bank allemande 1.3%.
BNP Paribas avait auparavant annoncé la remontée de ses prévisions de croissance mondiale de 3.1 vers 3.5%, la Deutsche Bank AG faisant de même de 3.2 vers 3.5% également, invoquant la restructuration de la dette grecque et l'augmentation du volume des prêts consentis par la Banque Centrale Européenne.
Bolloré a également raflé 2.39% après que l'assureur Groupama ait affirmé avoir revendu ses 3.1% de la compagnie contrôlée par le milliardaire Vincent Bolloré, et ne plus en contrôler directement la moindre part.
Les constructeurs automobiles étaient par contre en déclin, les piliers germaniques BMW et Volkswagen reculant de 0.59 et 0.2%, tandis que leur collègue d'outre-Rhin Peugeot dérapait de 0.64%.
Le Comité des Constructeurs Français d’Automobiles avait déclaré en fin de semaine que le marché national, le second ducontinent après l'Allemagne, avait plongé de 24% pour se situer à 197 033 véhicules en mars, aggravant les 20% de plongée déjà déplorés en février.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.1%, tiré vers le haut par la grande forme dans le domaine énergétique.
Cairn Energy se trouvait au tableau d'honneur avec une envolée de 5.32%, Essar Energy se contentant de 1.3% et BP de 0.37%.
Le premier avait déclaré en début de journée l'acquisition l'Agora Oil & Gas, une compagnie privée norvégienne détenant des actifs non exploités à explorer, estimer et développer au Royaume-Uni et dans la partie norvégienne de la Mer du Nord, au cours d'une opération comportant des liquidités et des actions.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont par contre souffert, laissant échapper 0.14 et 0.55%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys tirant leur épingle du jeu avec 0.55 et 0.54% d'amélioration.
La City demeurait pour sa part mitigée, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.54%, Barclays bondissant de 1.01%, Lloyds Banking de 0.83% et HSBC Holdings arrachant 0.21%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient un passage à vide de 0.05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un sursaut de 0.01%.
Les autorités américaines devrait pour leur part divulguer cet après-midi leur mesure du volume des commandes passées auprès des usines du pays, tandis que leur Réserve Fédérale fera de même avec le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion d'orientation politique.