Investing.com - Les options sur le brut campaient sur leurs positions ce jeudi matin, dans l'expectative des nouvelles du marché du travail et des réserves des Etats-Unis, tandis que le problème syrien demeurait au premier plan.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,33 USD le baril en première partie de séance européenne, arrachant 0,09%.
La session précédente les avait vus conclure à 107,23 USD avec un repli de 1,21%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,86 USD, leur plancher du 2 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 108,81 USD, leur plafond du lendemain.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a en effet refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Les cours avaient bondi le 28 août jusqu'à 112,22 USD, leur plus haut niveau en 27 mois, profitant de la crainte d'une intervention contre le gouvernement de BAchar el-Assad.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, est particulièrement redoutée.
L'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre demeurait aussi sur toutes les lèvres, se retrouvant confortée hier par l'étude soulignant que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les réserves d'or noir une soustraction inattendue de 4,2 millions de barils pour la semaine dernière, au lieu des 2,5 millions envisagés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0,24% pour grimper à 115,19 USD du baril dans le même temps, soit 7,86 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,33 USD le baril en première partie de séance européenne, arrachant 0,09%.
La session précédente les avait vus conclure à 107,23 USD avec un repli de 1,21%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,86 USD, leur plancher du 2 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 108,81 USD, leur plafond du lendemain.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a en effet refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Les cours avaient bondi le 28 août jusqu'à 112,22 USD, leur plus haut niveau en 27 mois, profitant de la crainte d'une intervention contre le gouvernement de BAchar el-Assad.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, est particulièrement redoutée.
L'hypothèse d'une réduction de la voilure des aides de la Réserve Fédérale dès l'issue de son conseil de direction des 17 et 18 septembre demeurait aussi sur toutes les lèvres, se retrouvant confortée hier par l'étude soulignant que l'activité des usines des Etats-Unis avait connu en août sa plus forte résurgence depuis avril 2011.
Les observateurs guettent désormais pour vendredi le rapport sur l'emploi américain hors agriculture, qui jouera probablement un rôle crucial dans les prochaines prises de décisions.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les variations dans le volume des stocks pétroliers constatées par les autorités américaines étaient également sous surveillance, afin d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leurs propres chiffres après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les réserves d'or noir une soustraction inattendue de 4,2 millions de barils pour la semaine dernière, au lieu des 2,5 millions envisagés.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0,24% pour grimper à 115,19 USD du baril dans le même temps, soit 7,86 USD de mieux que leurs homologues américaines.