Legrand dévisse de 2,4% et fait donc figure de lanterne rouge du CAC40, pénalisé par une note de Société Générale (SG), qui dégrade son conseil sur le titre de 'conserver' à 'vendre' malgré un objectif de cours associé relevé de 40 à 42 euros.
Le bureau d'études n'y va pas par quatre chemins concernant l'action du spécialiste des équipements basse tension : 'la croissance et la dynamique de marge négatives ne justifient pas un PER de 22 fois', sanctionne SG.
Les analystes estiment qu'à court terme, l'orientation des ventes comme des marges de Legrand 'continueront à décevoir'. Ils soulignent le recul 'séquentiel' de la demande constaté dans nombre de régions au troisième trimestre, dont l'aggravation de la contraction en France et la décélération émergente.
Enfin, du côté des acquisitions, 'les vendeurs sont généralement moins nombreux en période d'incertitudes économiques (...) et il semble que la concurrence soit de plus en plus rude de la part d'acteurs comme Panasonic, ABB, Eaton ou Schneider', conclut SG.
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Le bureau d'études n'y va pas par quatre chemins concernant l'action du spécialiste des équipements basse tension : 'la croissance et la dynamique de marge négatives ne justifient pas un PER de 22 fois', sanctionne SG.
Les analystes estiment qu'à court terme, l'orientation des ventes comme des marges de Legrand 'continueront à décevoir'. Ils soulignent le recul 'séquentiel' de la demande constaté dans nombre de régions au troisième trimestre, dont l'aggravation de la contraction en France et la décélération émergente.
Enfin, du côté des acquisitions, 'les vendeurs sont généralement moins nombreux en période d'incertitudes économiques (...) et il semble que la concurrence soit de plus en plus rude de la part d'acteurs comme Panasonic, ABB, Eaton ou Schneider', conclut SG.
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