Au terme du premier fixing du jour à Londres, l'once d'or fin cotait 1.134,4 dollars (- 3,1 dollars par rapport au fixing fixing d'hier après-midi) et 990 euros (- 2 euros).
Bien que la reprise de confiance des investisseurs boursiers ne soit que relative, à en juger par le recul finalement enregistré hier par les places de Wall Street et celui des indices européens ce midi, la valeur refuge continue de revenir sur ses gains des dernières séances.
La Chine reste au centre de toutes les attentions : si les récentes décision politiques et leur peu d'effet sur la conjoncture comme la Bourse chinoise ont inquiété investisseurs, la toute dernière semble enfin avoir produit un plutôt positif : 'nous pensons que l'abaissement hier des taux d'intérêt et des taux de réserves obligatoires de la Banque populaire de Chine constitue le catalyseur qui était attendu par les marchés', commente ainsi Bank of America-Merrill Lynch.
Même si nombreux sont ceux qui soulignent les limites de l'opération. Selon ADS Securities, depuis les Emirats arabes unis, 'il est désormais très clair que l'action d'une seule banque centrale ne suffit pas à calmer les marchés.
Les mesures de relance devraient soutenir le sentiment de marché, mais nous n'envisageons pourtant pas une Chine renaissante, ajoutent de leur côté les spécialistes britanniques de Schroders (LONDON:SDR).
L'once a de plus profité de l'anticipation quasi-générale que la Fed ne modifiera pas ses taux d'intérêt le mois prochain, contrairement à l'opinion qui prévalait avant les violentes secousses conjoncturelles et boursières chinoises du milieu du mois d'août.
Par ailleurs, la masse de lingots adossée au SPDR Gold Shares restait inchangée hier soir à 681,1 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta identifient un pivot clé à 1.126. Tant qu'il tiendra, il sera possible d'envisager une extension haussière vers 1.168. Mais le signal est jugé fragile.
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Bien que la reprise de confiance des investisseurs boursiers ne soit que relative, à en juger par le recul finalement enregistré hier par les places de Wall Street et celui des indices européens ce midi, la valeur refuge continue de revenir sur ses gains des dernières séances.
La Chine reste au centre de toutes les attentions : si les récentes décision politiques et leur peu d'effet sur la conjoncture comme la Bourse chinoise ont inquiété investisseurs, la toute dernière semble enfin avoir produit un plutôt positif : 'nous pensons que l'abaissement hier des taux d'intérêt et des taux de réserves obligatoires de la Banque populaire de Chine constitue le catalyseur qui était attendu par les marchés', commente ainsi Bank of America-Merrill Lynch.
Même si nombreux sont ceux qui soulignent les limites de l'opération. Selon ADS Securities, depuis les Emirats arabes unis, 'il est désormais très clair que l'action d'une seule banque centrale ne suffit pas à calmer les marchés.
Les mesures de relance devraient soutenir le sentiment de marché, mais nous n'envisageons pourtant pas une Chine renaissante, ajoutent de leur côté les spécialistes britanniques de Schroders (LONDON:SDR).
L'once a de plus profité de l'anticipation quasi-générale que la Fed ne modifiera pas ses taux d'intérêt le mois prochain, contrairement à l'opinion qui prévalait avant les violentes secousses conjoncturelles et boursières chinoises du milieu du mois d'août.
Par ailleurs, la masse de lingots adossée au SPDR Gold Shares restait inchangée hier soir à 681,1 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta identifient un pivot clé à 1.126. Tant qu'il tiendra, il sera possible d'envisager une extension haussière vers 1.168. Mais le signal est jugé fragile.
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