Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce vendredi, les bonnes nouvelles venues d'Allemagne et d'Espagne n'ayant pas réussi à faire oublier les propos peu enthousiastes émanant de la tête de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.29%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 0.32%.
Les observateurs ont en effet boudé l'amélioration du baromètre de l'activité des prestataires de services espagnols de 42.4 vers 44.3 pour le mois dernier établie par le groupe de recherches économiques Markit, soit nettement mieux que les 42.8 envisagés.
Il avait en plus été révélé auparavant que les ventes au détail allemandes de novembre avaient augmenté de 1.2%, dépassant les 0.8% espérés suite aux 1.3% de chute précédents.
La circonspection restait le maître-mot après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en décembre par la banque centrale américaine ait montré que ses dirigeants commençaient à envisager de mettre fin aux acquisitions d'actifs dès cette année.
La finance était plutôt mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale se repliant respactivement de 0.38 et 0.3%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzabank engrangeaient 0.35 et 0.27%.
Sonova Holding, spécialisé dans les prothèses auditives, a cependant bondi de 3.66% après que Merril Lynch, appartenant à la Bank of America, en ait relevé l'appréciation de la neutralité vers l'achat.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.12%, tiré vers le bas par ses exploitants, après qu'il ait été souligné que le tertiaire britannique s'était retrouvé à évoluer négativement en décembre.
Fresnillo, premier extracteur mondial d'argent, a plongé de 6.05% après que l'UBS en ait rabaissé la recommandation de l'achat vers le neutre, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étant pas en reste avec 1.69 et 1.45%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas non plus à la fête avec 0.93 et 2.18%.
La City partageait aussi le pessimisme ambiant, HSBC Holdings laissant échapper 0.14%, et Lloyds Banking 0.28%, et s'en tirant plutôt bien par rapport à la Royal Bank of Scotland et à Barclays, sombrant de 0.44 et 0.39%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.09%.
Il avait par ailleurs été à noter ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la zone euro s'était maintenue en décembre à 2.2% annualisés, alors que les experts s'étaient attendus à la voir trébucher à 2.1% à ce moment-là.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec leurs informations gouvernementales sur la masse salariale hors agriculture, ainsi que leur pourcentage des demandeurs d'emploi, et l'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec une étude sur l'activité dans le domaine des services.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.29%, le CAC 40 français de 0.52%, et le DAX 30 allemand de 0.32%.
Les observateurs ont en effet boudé l'amélioration du baromètre de l'activité des prestataires de services espagnols de 42.4 vers 44.3 pour le mois dernier établie par le groupe de recherches économiques Markit, soit nettement mieux que les 42.8 envisagés.
Il avait en plus été révélé auparavant que les ventes au détail allemandes de novembre avaient augmenté de 1.2%, dépassant les 0.8% espérés suite aux 1.3% de chute précédents.
La circonspection restait le maître-mot après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en décembre par la banque centrale américaine ait montré que ses dirigeants commençaient à envisager de mettre fin aux acquisitions d'actifs dès cette année.
La finance était plutôt mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale se repliant respactivement de 0.38 et 0.3%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzabank engrangeaient 0.35 et 0.27%.
Sonova Holding, spécialisé dans les prothèses auditives, a cependant bondi de 3.66% après que Merril Lynch, appartenant à la Bank of America, en ait relevé l'appréciation de la neutralité vers l'achat.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.12%, tiré vers le bas par ses exploitants, après qu'il ait été souligné que le tertiaire britannique s'était retrouvé à évoluer négativement en décembre.
Fresnillo, premier extracteur mondial d'argent, a plongé de 6.05% après que l'UBS en ait rabaissé la recommandation de l'achat vers le neutre, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étant pas en reste avec 1.69 et 1.45%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas non plus à la fête avec 0.93 et 2.18%.
La City partageait aussi le pessimisme ambiant, HSBC Holdings laissant échapper 0.14%, et Lloyds Banking 0.28%, et s'en tirant plutôt bien par rapport à la Royal Bank of Scotland et à Barclays, sombrant de 0.44 et 0.39%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.04%, celles sur le S&P 500 tablant sur une amélioration de 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.09%.
Il avait par ailleurs été à noter ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la zone euro s'était maintenue en décembre à 2.2% annualisés, alors que les experts s'étaient attendus à la voir trébucher à 2.1% à ce moment-là.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec leurs informations gouvernementales sur la masse salariale hors agriculture, ainsi que leur pourcentage des demandeurs d'emploi, et l'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec une étude sur l'activité dans le domaine des services.