Wall Street a conclu le premier semestre par une consolidation sans intensité: l'équipe des 'sherpas' de Wall Street avait marqué le 'touchdown' qui confère la victoire jeudi soir (avec 2 records historiques à la clé), la transformation était tout à fait accessoire et le ballon ovale est parti au ras du gazon... dans l'indifférence générale.
L'indice Dow Jones a lâché 0,56% (effaçant la moitié de son gain de la semaine, le 'S&P' a reculé de -0,54% (+0,74% hebdo) et le Nasdaq, encore auréolé de son zénith historique à 5.143,3Pts inscrit la veille, s'est effrité de -0,31% à 5.117 (sa deuxième meilleure clôture de l'histoire, au-delà de celle du 10 mars 2000).
Petit lot de consolation: le Russel-2000 est venu par 3 fois tester un record absolu des 1.287Pts en séance avant d'en terminer parfaitement inchangé à 1.284,7Pts... et à 21H50 et quelques seconde, le 'R-2000' était encore en course pour inscrire un nouveau record de clôture.
Maintenant que le soutien artificiel des cours n'a plus d'objet, Wall Street va devoir se reconnecter avec le monde réel, et notamment le mini-krach de la bourse de Shanghai de -6,5% ce vendredi, pour un score hebdomadaire cataclysmique de -13,5%, du jamais vu depuis novembre 2007.
En ce qui concerne la Grèce, les marchés pourraient se réveiller avec la gueule de bois lundi -en cas de cessation du soutien des banques grecques via l'ELA-, ou au contraire entamer le second semestre dans l'allégresse si une bidouille qui permet d'éviter le défaut immédiat de la Grèce -et aux différents protagonistes de sauver la face- est inventée au cours du weekend.
Si les contrats sur indices et options n'avaient pas expiré ce vendredi (ce qui signifie que les compteurs sont remis à zéro), personne n'aurait pris le risque de payer le marché comme cela fut fait jeudi.
Mais après les '4 sorcières le déluge' et ce qui est pris n'est plus à prendre, c'est une nouvelle aventure -une page vierge- qui s'ouvre lundi.
Puisque cette séance des '4 sorcières' se prête à l'exercice du 'bilan de mi-parcours annuel', les investisseurs se contentent d'un match nul sur le Dow Jones depuis le 1er janvier (+1%, ça paye juste les frais), le S&P500 grappille +2,5% et le Nasdaq rend une feuille de score un plus honorable avec un gain de +8%.
La hausse du Nasdaq-100 s'élève à +6,5%, elle a été freinée ce vendredi soir par Intel (NASDAQ:INTC) et Apple (NASDAQ:AAPL) -1%, EMC -1,2%, Gilead -1,15%, Microsoft (NASDAQ:MSFT) -1,3%, Symantec -1,6%, Xilinx -1,8%,
Côté hausse: Biogen +2,4%, eBay +0,8%... c'est à peu près tout.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'indice Dow Jones a lâché 0,56% (effaçant la moitié de son gain de la semaine, le 'S&P' a reculé de -0,54% (+0,74% hebdo) et le Nasdaq, encore auréolé de son zénith historique à 5.143,3Pts inscrit la veille, s'est effrité de -0,31% à 5.117 (sa deuxième meilleure clôture de l'histoire, au-delà de celle du 10 mars 2000).
Petit lot de consolation: le Russel-2000 est venu par 3 fois tester un record absolu des 1.287Pts en séance avant d'en terminer parfaitement inchangé à 1.284,7Pts... et à 21H50 et quelques seconde, le 'R-2000' était encore en course pour inscrire un nouveau record de clôture.
Maintenant que le soutien artificiel des cours n'a plus d'objet, Wall Street va devoir se reconnecter avec le monde réel, et notamment le mini-krach de la bourse de Shanghai de -6,5% ce vendredi, pour un score hebdomadaire cataclysmique de -13,5%, du jamais vu depuis novembre 2007.
En ce qui concerne la Grèce, les marchés pourraient se réveiller avec la gueule de bois lundi -en cas de cessation du soutien des banques grecques via l'ELA-, ou au contraire entamer le second semestre dans l'allégresse si une bidouille qui permet d'éviter le défaut immédiat de la Grèce -et aux différents protagonistes de sauver la face- est inventée au cours du weekend.
Si les contrats sur indices et options n'avaient pas expiré ce vendredi (ce qui signifie que les compteurs sont remis à zéro), personne n'aurait pris le risque de payer le marché comme cela fut fait jeudi.
Mais après les '4 sorcières le déluge' et ce qui est pris n'est plus à prendre, c'est une nouvelle aventure -une page vierge- qui s'ouvre lundi.
Puisque cette séance des '4 sorcières' se prête à l'exercice du 'bilan de mi-parcours annuel', les investisseurs se contentent d'un match nul sur le Dow Jones depuis le 1er janvier (+1%, ça paye juste les frais), le S&P500 grappille +2,5% et le Nasdaq rend une feuille de score un plus honorable avec un gain de +8%.
La hausse du Nasdaq-100 s'élève à +6,5%, elle a été freinée ce vendredi soir par Intel (NASDAQ:INTC) et Apple (NASDAQ:AAPL) -1%, EMC -1,2%, Gilead -1,15%, Microsoft (NASDAQ:MSFT) -1,3%, Symantec -1,6%, Xilinx -1,8%,
Côté hausse: Biogen +2,4%, eBay +0,8%... c'est à peu près tout.
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