Futures Pros - Les options sur le brut ont vu ce lundi s'interrompre leurs trois jours de progression, retombant de leur sommet des 26 derniers mois, alors que l'économie des Etats-Unis donnait des signes de faiblesse et que le dollar U.S. se renforçait, diminuant la demande de matières premières.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 88.72 USD le baril en première partie de séance européenne, chutant de 0.78%.
Ils avaient auparavant culminé à 89.77 USD, leur cours le plus élevé depuis le 8 octobre 2008.
Les cours de l'or noir ont été affectés par la crainte d'une baisse de la demande américaine, l'économie du pays donnant des signes de faiblesse après que des informations dévoilées vendredi aient montré une augmentation surprenante du taux de chômage, ce dernier atteignant son plus haut niveau des 7 mois passés.
Lors de l'émission télévisée "60 Minutes" diffusée dimanche sur CBS, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, a d'autre part affirmé que le rythme des inscriptions au chômage pourrait mettre entre 4 et 5 ans pour retomber à un niveau plus normal mais que l'économie du pays avait peu de chances de tomber à nouveau en récession.
Les Etats-Unis restent le premier consommateur mondial de pétrole.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a raflé 0.94% sur la même période.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a d'autre part déclaré en début de journée qu'elle s'attendait désormais à ce que la moyenne des cours de 2011 s'établisse à 87.5 USD le baril, contre seulement 80 USD précédemment, assurant que "les rebonds du brut commencent à se baser sur des fondations solides".
Les futures sur le gaz naturel pour janvier se sont pendant ce temps envolées de 1.71%, pour atteindre un plafond des 5 derniers jours à 4.392 USD par million d'unités thermiques britanniques.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 88.72 USD le baril en première partie de séance européenne, chutant de 0.78%.
Ils avaient auparavant culminé à 89.77 USD, leur cours le plus élevé depuis le 8 octobre 2008.
Les cours de l'or noir ont été affectés par la crainte d'une baisse de la demande américaine, l'économie du pays donnant des signes de faiblesse après que des informations dévoilées vendredi aient montré une augmentation surprenante du taux de chômage, ce dernier atteignant son plus haut niveau des 7 mois passés.
Lors de l'émission télévisée "60 Minutes" diffusée dimanche sur CBS, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, a d'autre part affirmé que le rythme des inscriptions au chômage pourrait mettre entre 4 et 5 ans pour retomber à un niveau plus normal mais que l'économie du pays avait peu de chances de tomber à nouveau en récession.
Les Etats-Unis restent le premier consommateur mondial de pétrole.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a raflé 0.94% sur la même période.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La Deutsche Bank, pourvoyeuse internationale de services financiers, a d'autre part déclaré en début de journée qu'elle s'attendait désormais à ce que la moyenne des cours de 2011 s'établisse à 87.5 USD le baril, contre seulement 80 USD précédemment, assurant que "les rebonds du brut commencent à se baser sur des fondations solides".
Les futures sur le gaz naturel pour janvier se sont pendant ce temps envolées de 1.71%, pour atteindre un plafond des 5 derniers jours à 4.392 USD par million d'unités thermiques britanniques.