Investing.com - Le dollar néo-zélandais a bondi ce jeudi vers un pic des 26 dernières années face à son homologue américain, tiré vers le haut par une étude montrant que l'économie du pays avait connu au premier trimestre une croissance supérieure aux attentes.
La paire NZD/USD est montée jusqu'à 0.8504 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis la fin de leur parité contrôlée en mars 1985, puis s'est stabilisée vers 0.8447, engrangeant 0.86%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8151, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.851, le seuil psychologique suivant.
Un rapport gouvernemental a effectivement indiqué que le produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande avait gonflé de 0.8% au premier trimestre 2011, dépassant largement les 0.3% attendus et les 0.2% enregistrés lors du précédent.
L'économie du pays a d'autre part connu un taux de croissance annualisée de 1.4%, pulvérisant les 0.5% espérés.
Ces bons résultats ont conforté l'hypothèse d'une hausse des taux d'intérêt à court terme de la part de la banque centrale nationale.
L'agence Moody's Investor Service a par contre déclaré dans la soirée de mercredi qu'elle plaçait la notation Aaa des obligations américaines sous surveillance en vue d'une possible dégradation, invoquant une risque "faible mais en augmentation" d'un défaut de paiement de courte durée suite à l'impasse dans laquelle se trouve le congrès américain concernant l'augmentation du plafond de la dette nationale.
Le billet vert s'est retrouvé sous une pression encore plus forte après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé que cette dernière envisageait tester des méthodes inédites pour stimuler la croissance au cas où les conditions économiques devaiennt encore se dégrader, sans exclure la possibilité d'une nouvelle série d'achats d'actifs ou d'assouplissements quantitatifs.
Lors de sa comparution devant les législateurs, il a en fait savoir que les membres du conseil directeur estimaient que la reprise économique "resterait probablement modeste", avec une "diminution graduelle" du chômage.
Le kiwi a également dominé son cousin australien, l'AUD/NZD plongeant de 1.07% pour reprendre pied à 1.271.
Les Etats-Unis publieront aujourd'hui une série de résultats, comprenant notament un rapport sur les ventes au détail, l'inflation des prix à la production ainsi que leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
M. Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays livrera de son côté la seconde part de son témoignage sur la politique monétaire à Washington.
La paire NZD/USD est montée jusqu'à 0.8504 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis la fin de leur parité contrôlée en mars 1985, puis s'est stabilisée vers 0.8447, engrangeant 0.86%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8151, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.851, le seuil psychologique suivant.
Un rapport gouvernemental a effectivement indiqué que le produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande avait gonflé de 0.8% au premier trimestre 2011, dépassant largement les 0.3% attendus et les 0.2% enregistrés lors du précédent.
L'économie du pays a d'autre part connu un taux de croissance annualisée de 1.4%, pulvérisant les 0.5% espérés.
Ces bons résultats ont conforté l'hypothèse d'une hausse des taux d'intérêt à court terme de la part de la banque centrale nationale.
L'agence Moody's Investor Service a par contre déclaré dans la soirée de mercredi qu'elle plaçait la notation Aaa des obligations américaines sous surveillance en vue d'une possible dégradation, invoquant une risque "faible mais en augmentation" d'un défaut de paiement de courte durée suite à l'impasse dans laquelle se trouve le congrès américain concernant l'augmentation du plafond de la dette nationale.
Le billet vert s'est retrouvé sous une pression encore plus forte après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé que cette dernière envisageait tester des méthodes inédites pour stimuler la croissance au cas où les conditions économiques devaiennt encore se dégrader, sans exclure la possibilité d'une nouvelle série d'achats d'actifs ou d'assouplissements quantitatifs.
Lors de sa comparution devant les législateurs, il a en fait savoir que les membres du conseil directeur estimaient que la reprise économique "resterait probablement modeste", avec une "diminution graduelle" du chômage.
Le kiwi a également dominé son cousin australien, l'AUD/NZD plongeant de 1.07% pour reprendre pied à 1.271.
Les Etats-Unis publieront aujourd'hui une série de résultats, comprenant notament un rapport sur les ventes au détail, l'inflation des prix à la production ainsi que leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
M. Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays livrera de son côté la seconde part de son témoignage sur la politique monétaire à Washington.