Investing.com - Le dollar U.S. était légèrement à la baisse face au yen lors d'échanges raréfiés ce lundi par un jour férié nippon, la crainte d'un défaut de paiement américain augmentant l'attrait de ce dernier, considéré comme une valeur sûre.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 78.94 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 78.99, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 78.45, son plancher des quatre derniers mois datant du 14 juillet, et de rencontrer de la résistance à 79.58, son plafond du même jour.
Les places boursières de tokyo sont restées closes en célébration du jour de la mer, diminuant fortement le volume des transactions.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'évait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Larry Summers, ancien secrétaire d'état au trésor américain, a ajouté qu'un défaut de paiement de la part du pays ferait souffler un vent de panique sur le système financier mondial et entraînerait des incertitudes sur le long terme.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que la plus grosse économie au monde connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si elle devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
L'attrait de la devise du pays du soleil levant en tant que refuge a également bénéficiéé du spectre de la dette de la zone euro.
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer ce jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
Les résultats des tests d'effort de l'Autorité Bancaire Européenne ont mis en évidence vendredi l'échec de 8 organismes de prêt sur les 90 plus gros, présentant un trou total à hauteur de 2.5 milliards d'euros.
L'ABE a également précisé que 16 d'entre eux avaient réussi les tests de justesse, notamment 5 en Espagne, 2 en Grèce et 1 en Autriche, mais que toutes les plus grosses s'en étaient sorties.
La monnaie de l'archipel a aussi gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY plongeant de 0.93% pour tomber à 110.96.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 78.94 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 78.99, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 78.45, son plancher des quatre derniers mois datant du 14 juillet, et de rencontrer de la résistance à 79.58, son plafond du même jour.
Les places boursières de tokyo sont restées closes en célébration du jour de la mer, diminuant fortement le volume des transactions.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'évait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Larry Summers, ancien secrétaire d'état au trésor américain, a ajouté qu'un défaut de paiement de la part du pays ferait souffler un vent de panique sur le système financier mondial et entraînerait des incertitudes sur le long terme.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que la plus grosse économie au monde connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si elle devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
L'attrait de la devise du pays du soleil levant en tant que refuge a également bénéficiéé du spectre de la dette de la zone euro.
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer ce jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
Les résultats des tests d'effort de l'Autorité Bancaire Européenne ont mis en évidence vendredi l'échec de 8 organismes de prêt sur les 90 plus gros, présentant un trou total à hauteur de 2.5 milliards d'euros.
L'ABE a également précisé que 16 d'entre eux avaient réussi les tests de justesse, notamment 5 en Espagne, 2 en Grèce et 1 en Autriche, mais que toutes les plus grosses s'en étaient sorties.
La monnaie de l'archipel a aussi gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY plongeant de 0.93% pour tomber à 110.96.