Investing.com - Les bourses européennes étaient enthousiastes ce jeudi, s'envolant vers un pic des douze dernières semaines après que les dirigeants de l'Union Européenne aient énnoncé un nouveau plan de lutte contre les problèmes financiers grecs et endiguer leur propagation au reste de la région.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 3.36%, le CAC 40 français de 3.4%, et le DAX 30 allemand de 3.28%.
Les dirigeants européens ont en effet convaincu les banques de subir 50% de réduction volontaire de la valeur faciale de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays, passant ainsi de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
Ils ont aussi accepté d'étendre la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional, bien que la source de ces capitaux ne doive pas être décidée avant novembre.
La finance en a profité, le français Crédit Agricole bondissant de 15.7%, BNP Paribas de 12.44%, et les allemands de la Deutsche Bank et de la Commerzbank de respectivement 9 et 8.76%.
Ceux de la périphérie ont également été à la fête, l'italien Unicredit prenant 6.9% et Intesa Sanpaolo 7.87%, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant de 5.01 et 3.74%.
BASF, premier fournisseur de produits chimiques au monde, a engrangé 4.7% après avoir annoncé des profits au troisième trimestre supérieurs aux attentes, tandis que Shell, première compagnie pétrolière européenne, prenait 1.59% avec la nouvelle du doublement de ses profits sur la même période, grâce à la mise en place de nouveaux projets du Qatar au Canada.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.91%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux avec le retour du goût du risque.
Parmi les têtes d'affiche, on pouvait noter Barclays, raflant 10.24%, la Royal Bank of Scotland 7.26%, Lloyds Banking 6.89% et HSBC Holdings 4.16%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont fait de même, se regonflant respectivement de 5.54 et 3.87%, sans oublier les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont s'améliorant de 5.66 et 6.57%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.6%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 3.36%, le CAC 40 français de 3.4%, et le DAX 30 allemand de 3.28%.
Les dirigeants européens ont en effet convaincu les banques de subir 50% de réduction volontaire de la valeur faciale de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays, passant ainsi de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
Ils ont aussi accepté d'étendre la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional, bien que la source de ces capitaux ne doive pas être décidée avant novembre.
La finance en a profité, le français Crédit Agricole bondissant de 15.7%, BNP Paribas de 12.44%, et les allemands de la Deutsche Bank et de la Commerzbank de respectivement 9 et 8.76%.
Ceux de la périphérie ont également été à la fête, l'italien Unicredit prenant 6.9% et Intesa Sanpaolo 7.87%, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant de 5.01 et 3.74%.
BASF, premier fournisseur de produits chimiques au monde, a engrangé 4.7% après avoir annoncé des profits au troisième trimestre supérieurs aux attentes, tandis que Shell, première compagnie pétrolière européenne, prenait 1.59% avec la nouvelle du doublement de ses profits sur la même période, grâce à la mise en place de nouveaux projets du Qatar au Canada.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.91%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux avec le retour du goût du risque.
Parmi les têtes d'affiche, on pouvait noter Barclays, raflant 10.24%, la Royal Bank of Scotland 7.26%, Lloyds Banking 6.89% et HSBC Holdings 4.16%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont fait de même, se regonflant respectivement de 5.54 et 3.87%, sans oublier les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont s'améliorant de 5.66 et 6.57%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.6%.
Les Etats-Unis publieront de leur côté dans l'après-midi leurs informations préliminaires concernant leur produit intérieur brut du troisième trimestre, ainsi que l'indice des prix y étant lié, mesure la plus large de son inflation, alors que leurs autorités révèleront le nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.