Investing.com - Les options sur l'or étaient en recul pour la première fois en cinq jours ce vendredi, retombant de leur pic des deux dernières semaines après que le large renforcement du dollar U.S. et la crainte d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro les aient mises sur la sellette.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 618.25 USD de l'once à la clôture des échanges de fin de semaine, bondissant tout de même de 3.21% au cours de celle-ci, et constituant la meilleure performaance hebdomadaire en un mois.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65, leur plafond du 21 décembre.
Ils avaient précédement culminé à 1 632.15 USD, leur meilleur cours de la journée, avant de retomber alors que billet vert se renforçait sur fond de signes d'accélération de la relance de l'économie américaine.
Le département d'état au travail du pays a en effet révélé que 200 000 emplois hors agriculture avaient été créés en décembre, contre 100 000 révisés à la baisse le mois précédent, dépassant largement les 150 000 attendus, le taux de chômage descendant à 8.5%, son niveau le plus bas depuis février 2009.
Les performancces positives sur le front de l'emploi et les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro en pleine résurgence ont propulsé l'étalon américain vers un pic des 16 derniers mois contre la monnaie unique.
Les contrats pour le métal précieux libellés avec celle-ci ont eux aussi progressé, s'élevant vers un pic des trois dernières semaines à 1 279.1 euros de l'once, soutenus par l'effritement de cette dernière.
Les angoisses la concernant s'étaient retrouvées exacerbées jeudi après que la France ait écoulé pour 4.02 milliards d'euros d'obligations lors d'enchères ayant rencontré une demande ferme, mais à des taux en hausse.
Le pays est généralement considéré en grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, après que les agences Fitch et Standard & Poor's l'aient placé sous une surveillance négative, tandis que planaient les incertitudes sur la gestion du problème de la dette régionale.
Cette vente survenait au lendemain d'une autre ayant vu l'Allemagne rassembler peu d'enhtousiasme en émettant des bons du trésor à dix ans.
La peur d'une fragilisation de la finance européenne se précisait après qu'il ait été montré vendredi que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record à 45 milliards d'euros, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps, les investisseurs se réfugiant plutôt auprès du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a bondi jusqu'à 81.61 en fin de semaine, son plus haut niveau depuis septembre 2010.
L'or a souvent tendance à monter quand l'étalon américain descend, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises et moins intéressant en tant qu'investissement alternatif.
Les prix demeuraient toutefois tirés vers le haut par leur valeur en tant que refuge en raison de l'augmentation des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et l'Iran.
La menace de ce dernier de fermer l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions a propulsé jeudi le pétrole vers son plus haut niveau depuis mai dernier, les hausses du brut ayant tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, en renforçant son attrait en tant que garde-fou contre l'inflation pétrolière.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 3.1% pour grimper à 28.7 USD de l'once, alors que celles sur le cuivre à échéance identique trébuchaient de 0.1% pour se retrouver à 3.431 USD la livre dans le même temps.
Les investisseurs guetteront pour la semaine à venir la rencontre lundi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, à la recherche de tout signe indiquant une évolution dans la résolution du problème du surendettement qui affecte la région depuis deux ans.
La France, la Grèce, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne devraient toutes émettre des dettes gouvernementales de leur côté, tandis que la Banque Centrale Européenne tiendra sa première réunion d'orientation politique de la nouuvelle année.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 618.25 USD de l'once à la clôture des échanges de fin de semaine, bondissant tout de même de 3.21% au cours de celle-ci, et constituant la meilleure performaance hebdomadaire en un mois.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1 643.65, leur plafond du 21 décembre.
Ils avaient précédement culminé à 1 632.15 USD, leur meilleur cours de la journée, avant de retomber alors que billet vert se renforçait sur fond de signes d'accélération de la relance de l'économie américaine.
Le département d'état au travail du pays a en effet révélé que 200 000 emplois hors agriculture avaient été créés en décembre, contre 100 000 révisés à la baisse le mois précédent, dépassant largement les 150 000 attendus, le taux de chômage descendant à 8.5%, son niveau le plus bas depuis février 2009.
Les performancces positives sur le front de l'emploi et les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro en pleine résurgence ont propulsé l'étalon américain vers un pic des 16 derniers mois contre la monnaie unique.
Les contrats pour le métal précieux libellés avec celle-ci ont eux aussi progressé, s'élevant vers un pic des trois dernières semaines à 1 279.1 euros de l'once, soutenus par l'effritement de cette dernière.
Les angoisses la concernant s'étaient retrouvées exacerbées jeudi après que la France ait écoulé pour 4.02 milliards d'euros d'obligations lors d'enchères ayant rencontré une demande ferme, mais à des taux en hausse.
Le pays est généralement considéré en grand danger de perdre sa notation triple A dans les semaines à venir, après que les agences Fitch et Standard & Poor's l'aient placé sous une surveillance négative, tandis que planaient les incertitudes sur la gestion du problème de la dette régionale.
Cette vente survenait au lendemain d'une autre ayant vu l'Allemagne rassembler peu d'enhtousiasme en émettant des bons du trésor à dix ans.
La peur d'une fragilisation de la finance européenne se précisait après qu'il ait été montré vendredi que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record à 45 milliards d'euros, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps, les investisseurs se réfugiant plutôt auprès du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a bondi jusqu'à 81.61 en fin de semaine, son plus haut niveau depuis septembre 2010.
L'or a souvent tendance à monter quand l'étalon américain descend, le rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises et moins intéressant en tant qu'investissement alternatif.
Les prix demeuraient toutefois tirés vers le haut par leur valeur en tant que refuge en raison de l'augmentation des tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et l'Iran.
La menace de ce dernier de fermer l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz en cas de sanctions a propulsé jeudi le pétrole vers son plus haut niveau depuis mai dernier, les hausses du brut ayant tendance à aussi faire flamber l'or dans leur sillage, en renforçant son attrait en tant que garde-fou contre l'inflation pétrolière.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 3.1% pour grimper à 28.7 USD de l'once, alors que celles sur le cuivre à échéance identique trébuchaient de 0.1% pour se retrouver à 3.431 USD la livre dans le même temps.
Les investisseurs guetteront pour la semaine à venir la rencontre lundi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, à la recherche de tout signe indiquant une évolution dans la résolution du problème du surendettement qui affecte la région depuis deux ans.
La France, la Grèce, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne devraient toutes émettre des dettes gouvernementales de leur côté, tandis que la Banque Centrale Européenne tiendra sa première réunion d'orientation politique de la nouuvelle année.