Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce mercredi, les investisseurs guettant la publication d'un rapport crucial sur l'emploi dans l'espoir de nouveaux signes de reprise de la première économie mondiale, tandis que persistaient les craintes liées à la crise de la dette en zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
La confiance des investisseurs s'est trouvée affaiblie par des résultats finaux décevants concernant le secteur secondaire de la zone euro pour avril, tandis que la production manufacturée allemande connaissait sa dégringolade la plus rapide depuis juillet 2009.
Une autre étude signalait pour sa part que le chômage au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique avait établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
Les bourses avaient largement progressé après qu'il ait été montré hier que le domaine secondaire américain avait réalisé en avril sa plus forte percée des dix mois écoulés.
Cette bonne performance avait étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Le secteur automobile était attendu au tournant, ses ventes ayant gagné 2.3% en avril, encouragées par les avancées de Toyota Motor Corp et du Chrysler Group, les conducteurs américains désirant remplacer leurs véhicules vieillissants alors que l'économie générale du pays donnait des signes encourageants.
L'empire News Corp de Rupert Murdoch devrait également être en première ligne, après que BSkyB ait déclaré des profits opérationnels record sur les neuf derniers mois, grâce aux bonnes performances de la diffusion à haut débit, faisant peu de cas des problèmes touchant son principal actionnaire.
Un comité parlementaire britannique avait en effet assuré mardi que celui-ci n'était pas "apte à assurer la direction d'une multinationale majeure".
Dans le domaine énergétique, le nom de Chesapeake était sur toutes les lèvres, la compagnie s'étant effondrée de 5.77% avant l'ouverture suite à l'aveu de pertes inattendues au premier trimestre, revoyant ses rentrées de capitaux à la baisse et réduisant ses budgets destinés aux forages, craignant de se retrouver à cours de liquidités l'anné prochaine en raison de cours du gaz naturel se situant au plus bas des dix dernières années.
Le géant des hdrocarbures qu'est BP a limité les dégâts à 0.68% dans le même temps, demeurant mis à mal par l'annonce faite hier d'une baisse de ses revenus sur les trois premiers mois de l'année, en raison de la baisse de sa production découlant de la marée noire qu'il avait provoquée en 2010.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Visa, MasterCard, Whole Foods et Franklin Resources, dont les performan,ces devraient être dévoilées dans la journée.
Les opérateurs guettaient également l'introduction de Facebook Inc, qui devrait débuter lundi prochain, permettant ainsi de la voir cotée le 18 mai.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.21%, le CAC 40 français arrachant 0.53%, le DAX 30 allemand glissant de 0.13% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grimpé de 0.97%, et le Nikkei 225 japonais de 0.15%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
La confiance des investisseurs s'est trouvée affaiblie par des résultats finaux décevants concernant le secteur secondaire de la zone euro pour avril, tandis que la production manufacturée allemande connaissait sa dégringolade la plus rapide depuis juillet 2009.
Une autre étude signalait pour sa part que le chômage au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique avait établi un nouveau sommet historique à 10.9% pour mars.
Les bourses avaient largement progressé après qu'il ait été montré hier que le domaine secondaire américain avait réalisé en avril sa plus forte percée des dix mois écoulés.
Cette bonne performance avait étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Le secteur automobile était attendu au tournant, ses ventes ayant gagné 2.3% en avril, encouragées par les avancées de Toyota Motor Corp et du Chrysler Group, les conducteurs américains désirant remplacer leurs véhicules vieillissants alors que l'économie générale du pays donnait des signes encourageants.
L'empire News Corp de Rupert Murdoch devrait également être en première ligne, après que BSkyB ait déclaré des profits opérationnels record sur les neuf derniers mois, grâce aux bonnes performances de la diffusion à haut débit, faisant peu de cas des problèmes touchant son principal actionnaire.
Un comité parlementaire britannique avait en effet assuré mardi que celui-ci n'était pas "apte à assurer la direction d'une multinationale majeure".
Dans le domaine énergétique, le nom de Chesapeake était sur toutes les lèvres, la compagnie s'étant effondrée de 5.77% avant l'ouverture suite à l'aveu de pertes inattendues au premier trimestre, revoyant ses rentrées de capitaux à la baisse et réduisant ses budgets destinés aux forages, craignant de se retrouver à cours de liquidités l'anné prochaine en raison de cours du gaz naturel se situant au plus bas des dix dernières années.
Le géant des hdrocarbures qu'est BP a limité les dégâts à 0.68% dans le même temps, demeurant mis à mal par l'annonce faite hier d'une baisse de ses revenus sur les trois premiers mois de l'année, en raison de la baisse de sa production découlant de la marée noire qu'il avait provoquée en 2010.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Visa, MasterCard, Whole Foods et Franklin Resources, dont les performan,ces devraient être dévoilées dans la journée.
Les opérateurs guettaient également l'introduction de Facebook Inc, qui devrait débuter lundi prochain, permettant ainsi de la voir cotée le 18 mai.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.21%, le CAC 40 français arrachant 0.53%, le DAX 30 allemand glissant de 0.13% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grimpé de 0.97%, et le Nikkei 225 japonais de 0.15%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir dans l'après-midi la divulgation du rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis leur gouvernement dévoilera le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.