Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, les résultats supérieurs aux espérances de l'Allemagne ayant renforcé le moral, malgré la persistance de l'instabilité politique grecque.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.98%, le CAC 40 français de 1.19%, et le DAX 30 allemand de 0.73.
L'enthousiasme est en effet revenu après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à supporter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
La circonspection demeurait toutefois de mise, de nouvelles discussions entre les partis visant à former un gouvernement devraient se tenir en cours de journée sous l'égide de Karolos Papoulias, le président grec, après plus d'une semaine sans avancée majeure, remettant en question la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi son futur au sein du bloc euro.
La finance était aux premières loges, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit prenant respectivement 1.65 et 0.97% bien que l'agence de notation Moody's Investor Services ait annoncé en début de matinée de larges dégradations du secteur bancaire de l'Italie, invoquant un manque d'accès aux liquidités des marchés.
Les français BNP Paribas et Société Générale suivaient le mouvement avec 0.33 et 1.3%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 0.7 et 0.4%.
L'empire médiatique français Vivendi était aussi de la fête, raflant 3.94% malgré des recettes et des profits opérationnels en diminution au premier trimestre, subissant un affaiblissement de ses ventes de jeux video, et la forte compétition subie par SFR, sa branche de téléphonie mobile, depuis l'arrivée de Free et de ses tarifs plancher.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.61%, tiré vers le haut par des miniers en grande forme.
Le géant minier Anglo American a engrangé 1.55% après avoir annoncé qu'Anne Stevens ferait désormais partie de son conseil d'administration, en tant que directrice non-exécutive.
Ses collègues Rio Tinto et BHP Billiton se sont contentés de 0.93 et 1.12%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys les imitant avec 1.38 et 1.02%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings gagnant 0.78%, la Royal Bank of Scotland 0.59%, Lloyds Banking n'arrachant que 0.1%, tandis que Barclays reculait de 0.34%.
Cette dernière avait annoncé ce matin qu'elle cherchait à vendre son réseau français de banque au détail, après avoir subi des pertes estimées à 200 millions d'euros.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.91%.
La zone euro doit encore révéler l'estimation de son produit intérieur brut du premier trimestre, tandis que le centre de recherches économiques ZEW fera de même avec son baromètre du moral économique de l'Allemagne et de la région dans son entier, tandis que les ministres des finances de la celle-ci tiendront une journée de pourparlers.
Les autorités des Etats-Unis publieront leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.98%, le CAC 40 français de 1.19%, et le DAX 30 allemand de 0.73.
L'enthousiasme est en effet revenu après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à supporter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
La circonspection demeurait toutefois de mise, de nouvelles discussions entre les partis visant à former un gouvernement devraient se tenir en cours de journée sous l'égide de Karolos Papoulias, le président grec, après plus d'une semaine sans avancée majeure, remettant en question la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi son futur au sein du bloc euro.
La finance était aux premières loges, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit prenant respectivement 1.65 et 0.97% bien que l'agence de notation Moody's Investor Services ait annoncé en début de matinée de larges dégradations du secteur bancaire de l'Italie, invoquant un manque d'accès aux liquidités des marchés.
Les français BNP Paribas et Société Générale suivaient le mouvement avec 0.33 et 1.3%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 0.7 et 0.4%.
L'empire médiatique français Vivendi était aussi de la fête, raflant 3.94% malgré des recettes et des profits opérationnels en diminution au premier trimestre, subissant un affaiblissement de ses ventes de jeux video, et la forte compétition subie par SFR, sa branche de téléphonie mobile, depuis l'arrivée de Free et de ses tarifs plancher.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.61%, tiré vers le haut par des miniers en grande forme.
Le géant minier Anglo American a engrangé 1.55% après avoir annoncé qu'Anne Stevens ferait désormais partie de son conseil d'administration, en tant que directrice non-exécutive.
Ses collègues Rio Tinto et BHP Billiton se sont contentés de 0.93 et 1.12%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys les imitant avec 1.38 et 1.02%.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings gagnant 0.78%, la Royal Bank of Scotland 0.59%, Lloyds Banking n'arrachant que 0.1%, tandis que Barclays reculait de 0.34%.
Cette dernière avait annoncé ce matin qu'elle cherchait à vendre son réseau français de banque au détail, après avoir subi des pertes estimées à 200 millions d'euros.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.91%.
La zone euro doit encore révéler l'estimation de son produit intérieur brut du premier trimestre, tandis que le centre de recherches économiques ZEW fera de même avec son baromètre du moral économique de l'Allemagne et de la région dans son entier, tandis que les ministres des finances de la celle-ci tiendront une journée de pourparlers.
Les autorités des Etats-Unis publieront leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi sur l'évolution des prix à la consommation, mais aussi une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.