Investing.com - L'euro s'est accroché à son avance acquise face au dollar U.S. ce mardi après-midi, encouragé par les bonnes surprises allemandes, mais il demeurait friable en raison de la crainte d'une sortie grecque de la région où il a cours.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2869 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2847, prenant tout de même 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2813, son plancher d'aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 1.2903, son plafond d'hier.
La monnaie unique avait en effet repris des couleurs après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Le centre de recherches économiques ZEW a toutefois indiqué que son baromètre économique du pays avait connu une détérioration dépassant considérablement celle qui était redoutée, constituant son premier revers des six derniers mois.
Il est en effet passé de 23.4 à 10.8 pour mai, alors que les experts espéraient que cette dégringolade s'arrêterait à 19 pour la période considérée.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro lui avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Mais la circonspection restait de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
La livre sterling et le yen ont aussi subi la pression de la devise européenne, l'EUR/GBP gagnant 0.45% pour grimper à 0.8003 et l'EUR/JPY progressant de 0.27% pour monter à 102.65.
Les autorités des Etats-Unis devaient pour leur part publier dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi que sur l'évolution des prix à la consommation, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2869 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2847, prenant tout de même 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2813, son plancher d'aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 1.2903, son plafond d'hier.
La monnaie unique avait en effet repris des couleurs après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie allemande avait davantage progressé au premier trimestre qu'il n'avait été espéré, laissant à penser que la plus grosse économie de la zone euro arrivait à surmonter les effets de la crise régionale.
Le produit intérieur brut du pays a en effet augmenté de 0.5% après ajustement saisonnier au cours de la période de trois mois achevée fin mars, soit nettement plus que les 0.1% attendus.
Le centre de recherches économiques ZEW a toutefois indiqué que son baromètre économique du pays avait connu une détérioration dépassant considérablement celle qui était redoutée, constituant son premier revers des six derniers mois.
Il est en effet passé de 23.4 à 10.8 pour mai, alors que les experts espéraient que cette dégringolade s'arrêterait à 19 pour la période considérée.
Il a d'autre part été signalé que le PIB du bloc euro lui avait tout juste évité de tomber en récession au premier trimestre, en demeurant stable alors qu'un recul de 0.2% était anticipé, le dernier trimestre 2011 l'ayant vu reculer de 0.3%.
Mais la circonspection restait de mise dans l'angoisse d'un possible échec des discussions grecques visant à former un gouvernement, après plus d'une semaine sans avancée majeure, semant le doute sur la capacité de la nation hellène à tenir ses engagements financiers, mais aussi sur son futur au sein du bloc euro.
Il avait également été souligné que le PIB de la Grèce avait subi une régression annualisée de 6.2% pour les trois premiers mois de 2012.
La livre sterling et le yen ont aussi subi la pression de la devise européenne, l'EUR/GBP gagnant 0.45% pour grimper à 0.8003 et l'EUR/JPY progressant de 0.27% pour monter à 102.65.
Les autorités des Etats-Unis devaient pour leur part publier dans l'après-midi leurs résultats portant sur les ventes auprès des particuliers, ainsi que sur l'évolution des prix à la consommation, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière dans la région de New York.