Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris avançait de 0,14% à mi-séance lundi, alors que la déception de l’indice Ifo allemand alimentait de nouveaux espoirs d’intervention de la Banque centrale européenne.
L'indice établi par l'institut Ifo s'est contracté de 0,9 point à 102,3 en août, au plus bas depuis mars 2010. Ce chiffre, qui confirme que la première économie de la zone euro n'est pas épargnée par la crise, renforce les anticipations d'intervention de la BCE.
Reuters a par ailleurs indiqué, vendredi, que la banque centrale européenne envisage d'établir des objectifs de bande de fluctuation des rendements obligataires dans le cadre de son nouveau programme de rachats de dettes souveraines.
Du côté des valeurs, Sanofi affichait l’une des plus fortes baisses de l’indice parisien, en repli de 0,87% à mi-séance, après que l’une des filiales du groupe, Genzyme, a annoncé que l'autorité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration (FDA), lui a demandé de soumettre une nouvelle demande pour l'approbation de la prescription du Lemtrada dans le traitement de la sclérose en plaques.
Genzyme a également fait savoir que la FDA lui a demandé de changer la présentation des données sans pour autant exiger d'étude clinique supplémentaire pour ce traitement.
A l’inverse, les valeurs financières étaient soutenues par les espoirs d’interventions des banques centrales. A la mi-journée, BNP Paribas grimpait de 2,22%, Société Générale s’appréciait de 1,56% et Crédit Agricole avançait de 0,49%.
Les valeurs technologiques gagnaient elles aussi du terrain, lundi. En milieu de journée, Alcatel-Lucent s’appréciait de 0,53% et STMicroelectronics gagnait 1,48%, soutenu par la condamnation du son concurrent Samsung pour des violations de brevets liés aux iPad et iPhone.
Dans le secteur automobile, Renault s’est octroyé 1,20% après que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré que le groupe compte bientôt annoncer des modèles dans le haut de gamme. Son concurrent Peugeot avançait de 0,25% à mi-séance.
Par ailleurs, le groupe Carrefour s’appréciait de 0,47% en milieu de journée, alors qu’il envisage la suppression de plus de 500 postes sur les 7.500 que comptent ses sièges français, selon Le Figaro. La décision devrait être annoncée mercredi, à la veille de la publication des résultats semestriels du groupe.
Arnaud Montebourg a déclaré que le gouvernement compte examiner la situation de l'entreprise.
Enfin, EADS prenait 0,22% en milieu de journée, alors que le groupe se prépare à présenter à la Suisse une offre portant sur 33 Eurofighter, faisant ainsi concurrence à l’offre du suédois Saab, afin de renouveler sa flotte vieillissante de Northtop F-E Tiger.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,11% et le DAX s’appréciait de 0,20%. Les marchés britanniques étaient fermés.
Aucun grand indicateur américain n’était attendu dans la journée.
L'indice établi par l'institut Ifo s'est contracté de 0,9 point à 102,3 en août, au plus bas depuis mars 2010. Ce chiffre, qui confirme que la première économie de la zone euro n'est pas épargnée par la crise, renforce les anticipations d'intervention de la BCE.
Reuters a par ailleurs indiqué, vendredi, que la banque centrale européenne envisage d'établir des objectifs de bande de fluctuation des rendements obligataires dans le cadre de son nouveau programme de rachats de dettes souveraines.
Du côté des valeurs, Sanofi affichait l’une des plus fortes baisses de l’indice parisien, en repli de 0,87% à mi-séance, après que l’une des filiales du groupe, Genzyme, a annoncé que l'autorité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration (FDA), lui a demandé de soumettre une nouvelle demande pour l'approbation de la prescription du Lemtrada dans le traitement de la sclérose en plaques.
Genzyme a également fait savoir que la FDA lui a demandé de changer la présentation des données sans pour autant exiger d'étude clinique supplémentaire pour ce traitement.
A l’inverse, les valeurs financières étaient soutenues par les espoirs d’interventions des banques centrales. A la mi-journée, BNP Paribas grimpait de 2,22%, Société Générale s’appréciait de 1,56% et Crédit Agricole avançait de 0,49%.
Les valeurs technologiques gagnaient elles aussi du terrain, lundi. En milieu de journée, Alcatel-Lucent s’appréciait de 0,53% et STMicroelectronics gagnait 1,48%, soutenu par la condamnation du son concurrent Samsung pour des violations de brevets liés aux iPad et iPhone.
Dans le secteur automobile, Renault s’est octroyé 1,20% après que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré que le groupe compte bientôt annoncer des modèles dans le haut de gamme. Son concurrent Peugeot avançait de 0,25% à mi-séance.
Par ailleurs, le groupe Carrefour s’appréciait de 0,47% en milieu de journée, alors qu’il envisage la suppression de plus de 500 postes sur les 7.500 que comptent ses sièges français, selon Le Figaro. La décision devrait être annoncée mercredi, à la veille de la publication des résultats semestriels du groupe.
Arnaud Montebourg a déclaré que le gouvernement compte examiner la situation de l'entreprise.
Enfin, EADS prenait 0,22% en milieu de journée, alors que le groupe se prépare à présenter à la Suisse une offre portant sur 33 Eurofighter, faisant ainsi concurrence à l’offre du suédois Saab, afin de renouveler sa flotte vieillissante de Northtop F-E Tiger.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,11% et le DAX s’appréciait de 0,20%. Les marchés britanniques étaient fermés.
Aucun grand indicateur américain n’était attendu dans la journée.