Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents lors des transactions sans direction claire de ce mercredi après-midi, les observateurs restant sur les dents à la veille d'une réunion cruciale de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, il s'est retrouvé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour monter à 1.2586.
La prudence demeurait à l'ordre du jour dans l'expectative une éventuelle révélation par la Banque Centrale Européenne des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc euro après son conseil d'orientation de jeudi.
La monnaie unique s'était pourtant retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité tertiaire du bloc l'ayant adoptée avait diminué légèrement plus vite en août qu'il n'avait été redouté, alimentant la crainte d'une entrée en récession technique de celle-ci.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a quand à elle fait savoir que les ventes au détail de la région avaient régressé de 0.2% en juillet, pour amener leur taux de diminution annuel à 1.7%.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0.29% pour se hisser à 1.5916.
La devise de la Grande-Bretagne gardait quand à elle du mordant après que des résultats supérieurs aux attentes de la part du secteur tertiaire britannique soient allés à l'encontre de l'hypothèse d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre qui seraient dévoilés demain.
Le yen a fait mieux que résister à sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 78.42, imité par le franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.08% pour toucher le fond à 0.955.
La devise helvète n'a guère été bouleversée par la nouvelle selon laquelle les prix à la consommation de la confédération n'avaient pas évolué en août, au lieu des 0.1% d'augmentation envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.15% pour monter à 0.9873, l'AUD/USD cédant 0.29% pour se retrouver à 0.0194 et le NZD/USD se laissant arracher 0.06% pour toucher le fond à 0.7938.
L'unité monétaire de l'Australie s'est trouvée boudée après qu'une étude de source gouvernementale ait montré que le produit intérieur brut national n'avait progressé que de 0.6% au second trimestre, alors que 0.7% étaient espérés après les 1.4% constatés de janvier à mars.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 81.28.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître cet après-midi les variations de leur productivité non-agricole.
En seconde partie de séance européenne, il s'est retrouvé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour monter à 1.2586.
La prudence demeurait à l'ordre du jour dans l'expectative une éventuelle révélation par la Banque Centrale Européenne des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc euro après son conseil d'orientation de jeudi.
La monnaie unique s'était pourtant retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité tertiaire du bloc l'ayant adoptée avait diminué légèrement plus vite en août qu'il n'avait été redouté, alimentant la crainte d'une entrée en récession technique de celle-ci.
L'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, a quand à elle fait savoir que les ventes au détail de la région avaient régressé de 0.2% en juillet, pour amener leur taux de diminution annuel à 1.7%.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD avançant de 0.29% pour se hisser à 1.5916.
La devise de la Grande-Bretagne gardait quand à elle du mordant après que des résultats supérieurs aux attentes de la part du secteur tertiaire britannique soient allés à l'encontre de l'hypothèse d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque d'Angleterre qui seraient dévoilés demain.
Le yen a fait mieux que résister à sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 78.42, imité par le franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.08% pour toucher le fond à 0.955.
La devise helvète n'a guère été bouleversée par la nouvelle selon laquelle les prix à la consommation de la confédération n'avaient pas évolué en août, au lieu des 0.1% d'augmentation envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.15% pour monter à 0.9873, l'AUD/USD cédant 0.29% pour se retrouver à 0.0194 et le NZD/USD se laissant arracher 0.06% pour toucher le fond à 0.7938.
L'unité monétaire de l'Australie s'est trouvée boudée après qu'une étude de source gouvernementale ait montré que le produit intérieur brut national n'avait progressé que de 0.6% au second trimestre, alors que 0.7% étaient espérés après les 1.4% constatés de janvier à mars.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 81.28.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître cet après-midi les variations de leur productivité non-agricole.