Investing.com - Les bourses d'Europe étaient en berne ce mercredi matin, plombées par l'inconnue de l'attribution ou non des fonds pour le sauvetage grec, et par l'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.31%, le CAC 40 français de 0.37%, et le DAX 30 allemand de 0.2%.
L'atmosphère s'était pourtant éclaircie après que le journal allemand Bild ait cité hier des sources gouvernementales germaniques affirmant qu'Athènes devrait recevoir d'une traite 44 milliards d'euros d'aides financière.
Mais la nervosité restait de mise après que les représentants du Fonds Monétaire International et de l'Europe soient demeurés partagés concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de la dette ggrecque à un niveau gérable.
Ils ont du coup repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant l'attribution des 31.5 milliards d'euros de la prochaine tranche d'aides.
Le centre de recherches économiques ZEW avait aussi souligné mardi que le moral économique de l'Allemagne avait flanché de -11.5 vers -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
La finance ne craquait pas, le français GNP Paribas grignotant 0.02%, son compatriote Société Générale trébuchant de 0.04% et la Deutsche Ban allemande arrachant 0.06%.
Mais la périphérie était en difficulté, les manifestants se rasseblant en Espagne et en Italie afin de protester contre les mesures de rigueur prises par leurs gouvernements respectifs, BBVA et Banco Santander reculant respectivement de 0.42 et 0.14%, Intesa Sanpaolo et Unicredit subissant 0.48 et 0.62% de pertes.
Mais tout nétait pas désespéré, Vivendi bondissant de 4.34% après avoir affirmé que ses revenus annuels diminueraient moins que redouté, grâce à la chasse aux coûts et à la popularité de ses jeux vidéo.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chute de 0.61%, tiré vers le bas par des carburants et des exploitants sur la défensive.
Royal Dutch Shell-A a ainsi plongé de 1.62% et Royal Dutch Shell-B de 1.79%, alors que Eurasian Natural Resources dégringolait de 1.83%.
Les cuivriers n'étaient pas en reste, Xstrata et Kazakhmys dérapant de 0.82 et 0.95%.
La City n'était guère mieux lotie, Barclays se repliant de 0.32%, HSBC Holdings de 0.39%, et la Royal Bank of Scotland de 0.5%, tandis que Lloyds Banking surnageait par contre de 0.02%.
Il était aussi à noter qu'ICAP, premier courtier mondial en transactions interbancaires, s'effondrait de 7.45% suite à l'aveu d'une fonte de 26% de ses bénéfices avant impôt pour le premier semestre fiscal, qui chutaient ainsi à 137 millions de GBP, les échanges se trouvant paralysés par le problème du surendettement régional.
Elle a précisé que ses profits annuels se situeraient dans la "partie basse' de la fourchette de 300 à 332 millions de GBP envisagée par les analystes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.54%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.71% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté diffuser en fin de journée leurs chiffres concernant le volume de leurs ventes au détail, l'inflation de leurs coûts de production et les réserves des entreprises, après quoi la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion d'orientation.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.31%, le CAC 40 français de 0.37%, et le DAX 30 allemand de 0.2%.
L'atmosphère s'était pourtant éclaircie après que le journal allemand Bild ait cité hier des sources gouvernementales germaniques affirmant qu'Athènes devrait recevoir d'une traite 44 milliards d'euros d'aides financière.
Mais la nervosité restait de mise après que les représentants du Fonds Monétaire International et de l'Europe soient demeurés partagés concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de la dette ggrecque à un niveau gérable.
Ils ont du coup repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant l'attribution des 31.5 milliards d'euros de la prochaine tranche d'aides.
Le centre de recherches économiques ZEW avait aussi souligné mardi que le moral économique de l'Allemagne avait flanché de -11.5 vers -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
La finance ne craquait pas, le français GNP Paribas grignotant 0.02%, son compatriote Société Générale trébuchant de 0.04% et la Deutsche Ban allemande arrachant 0.06%.
Mais la périphérie était en difficulté, les manifestants se rasseblant en Espagne et en Italie afin de protester contre les mesures de rigueur prises par leurs gouvernements respectifs, BBVA et Banco Santander reculant respectivement de 0.42 et 0.14%, Intesa Sanpaolo et Unicredit subissant 0.48 et 0.62% de pertes.
Mais tout nétait pas désespéré, Vivendi bondissant de 4.34% après avoir affirmé que ses revenus annuels diminueraient moins que redouté, grâce à la chasse aux coûts et à la popularité de ses jeux vidéo.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chute de 0.61%, tiré vers le bas par des carburants et des exploitants sur la défensive.
Royal Dutch Shell-A a ainsi plongé de 1.62% et Royal Dutch Shell-B de 1.79%, alors que Eurasian Natural Resources dégringolait de 1.83%.
Les cuivriers n'étaient pas en reste, Xstrata et Kazakhmys dérapant de 0.82 et 0.95%.
La City n'était guère mieux lotie, Barclays se repliant de 0.32%, HSBC Holdings de 0.39%, et la Royal Bank of Scotland de 0.5%, tandis que Lloyds Banking surnageait par contre de 0.02%.
Il était aussi à noter qu'ICAP, premier courtier mondial en transactions interbancaires, s'effondrait de 7.45% suite à l'aveu d'une fonte de 26% de ses bénéfices avant impôt pour le premier semestre fiscal, qui chutaient ainsi à 137 millions de GBP, les échanges se trouvant paralysés par le problème du surendettement régional.
Elle a précisé que ses profits annuels se situeraient dans la "partie basse' de la fourchette de 300 à 332 millions de GBP envisagée par les analystes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.54%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.71% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté diffuser en fin de journée leurs chiffres concernant le volume de leurs ventes au détail, l'inflation de leurs coûts de production et les réserves des entreprises, après quoi la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion d'orientation.