Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 0,56% jeudi, plombé par des indicateurs décevants en zone euro et des signes de détérioration du marché de l'emploi américain.
Aux Etats-Unis, les inscriptions au chômage ont augmenté de 78.000 à 439.000 la semaine dernière, signant ainsi leur plus forte hausse depuis la fin avril 2011. Le nombre de personnes touchant une allocation régulière est au plus haut depuis la fin juillet 2008. Les analystes tablaient sur 375.000 demandes.
Les prix à la consommation ont quant à eux augmenté de 0,1% en octobre dans leur ensemble et de 0,2% hors alimentation, contre +0,1% anticipé dans les deux cas par le marché.
L’indice Empire State d’activité manufacturière de la Fed de New York a certes rebondi à -5,22 points en novembre après -6,16 en octobre, la composante de l’emploi recule à -14,61 points, au plus bas depuis juillet 2009, contre -1,08 le mois dernier. Enfin, l’indice d’activité de la Fed de Philadelphie a chuté à -10,7 points en novembre, contre 5,7 en octobre et 2 points attendus.
Dans la zone euro, le PIB s’est contracté de 0,1% au troisième trimestre, après un repli de 0,2% au deuxième, selon l’estimation flash publiée par Eurostat. Sur un an, l’activité a diminué de 0,6%. La France et l’Allemagne ont enregistré une croissance de 0,2% sur la période. Le taux d’inflation au sein des Dix-Sept a quant à lui augmenté de 0,2% en octobre pour atteindre 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, Peugeot plait de 0,76% à la clôture. Le Figaro rapportait, plus tôt, que Citroën lancera en 2014 une voiture au prix "attractif", sans être "low cost", ce qui pourrait préfigurer une évolution complète de la gamme Citroën hors DS.
Egalement dans le rouge, Bouygues cédait 0,29% en fin de séance, après avoir pourtant dégagé un chiffre d’affaires de 24,6 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, en hausse de 4%.
Le directeur financier a fait savoir que, si 2013 offre peu de visibilité sur le carnet de commandes, la dégradation économique n’a pas d’impact à ce stade sur l’activité BTP. Le groupe a annoncé également son intention de lancer une augmentation de capital d’ici à la fin de l’année.
A l'inverse, Vivendi s'octroyait 1,88% à la fermeture du CAC 40, après que le groupe a annoncé qu'il prendra les décisions issues des conclusions de sa revue stratégique dans les trimestres à venir.
Par ailleurs, le géant égyptien des télécoms Naguib Sawiris envisagerait de racheter SFR, transaction qui pourrait atteindre 13 à 14 milliards d’euros, selon le Financial Times.
ArcelorMittal gagnait aussi du terrain et avançait de 0,13% fin de séance, alors que le leader mondial de la sidérurgie a signé un accord en vue de la cession de sa participation de 50% dans Kalagadi Manganese pour 447 millions de dollars.
Enfin, les valeurs financières ont elles aussi terminé la séance en terrain positif. A la clôture du CAC 40, BNP Paribas progressait de 0,87% et Société Générale s'octroyait 0,92%, tandis que Crédit Agricole engrangeait 1,84%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,46%, tandis que le DAX lâchait 0,89% et le Footsie 100 cédait 0,77%.
Aux Etats-Unis, les inscriptions au chômage ont augmenté de 78.000 à 439.000 la semaine dernière, signant ainsi leur plus forte hausse depuis la fin avril 2011. Le nombre de personnes touchant une allocation régulière est au plus haut depuis la fin juillet 2008. Les analystes tablaient sur 375.000 demandes.
Les prix à la consommation ont quant à eux augmenté de 0,1% en octobre dans leur ensemble et de 0,2% hors alimentation, contre +0,1% anticipé dans les deux cas par le marché.
L’indice Empire State d’activité manufacturière de la Fed de New York a certes rebondi à -5,22 points en novembre après -6,16 en octobre, la composante de l’emploi recule à -14,61 points, au plus bas depuis juillet 2009, contre -1,08 le mois dernier. Enfin, l’indice d’activité de la Fed de Philadelphie a chuté à -10,7 points en novembre, contre 5,7 en octobre et 2 points attendus.
Dans la zone euro, le PIB s’est contracté de 0,1% au troisième trimestre, après un repli de 0,2% au deuxième, selon l’estimation flash publiée par Eurostat. Sur un an, l’activité a diminué de 0,6%. La France et l’Allemagne ont enregistré une croissance de 0,2% sur la période. Le taux d’inflation au sein des Dix-Sept a quant à lui augmenté de 0,2% en octobre pour atteindre 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, Peugeot plait de 0,76% à la clôture. Le Figaro rapportait, plus tôt, que Citroën lancera en 2014 une voiture au prix "attractif", sans être "low cost", ce qui pourrait préfigurer une évolution complète de la gamme Citroën hors DS.
Egalement dans le rouge, Bouygues cédait 0,29% en fin de séance, après avoir pourtant dégagé un chiffre d’affaires de 24,6 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, en hausse de 4%.
Le directeur financier a fait savoir que, si 2013 offre peu de visibilité sur le carnet de commandes, la dégradation économique n’a pas d’impact à ce stade sur l’activité BTP. Le groupe a annoncé également son intention de lancer une augmentation de capital d’ici à la fin de l’année.
A l'inverse, Vivendi s'octroyait 1,88% à la fermeture du CAC 40, après que le groupe a annoncé qu'il prendra les décisions issues des conclusions de sa revue stratégique dans les trimestres à venir.
Par ailleurs, le géant égyptien des télécoms Naguib Sawiris envisagerait de racheter SFR, transaction qui pourrait atteindre 13 à 14 milliards d’euros, selon le Financial Times.
ArcelorMittal gagnait aussi du terrain et avançait de 0,13% fin de séance, alors que le leader mondial de la sidérurgie a signé un accord en vue de la cession de sa participation de 50% dans Kalagadi Manganese pour 447 millions de dollars.
Enfin, les valeurs financières ont elles aussi terminé la séance en terrain positif. A la clôture du CAC 40, BNP Paribas progressait de 0,87% et Société Générale s'octroyait 0,92%, tandis que Crédit Agricole engrangeait 1,84%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,46%, tandis que le DAX lâchait 0,89% et le Footsie 100 cédait 0,77%.