Investing.com - Les options sur le brut sont retombées de leurs pics du jour ce mercredi après-midi, suite à la diffusion des statistiques du marché du travail américain, mais profitaient cependant d'espoirs d'un cessez-le-feu entre les forces israéliennes et palestiniennes en berne après qu'il ait été rapporté qu'un attentat avait eu lieu au centre de Tel-Aviv.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.55 USD le baril en seconde partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.92%, après avoir auparavant culminé à 87.18 USD.
La fièvre est en effet retombée après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière s'était réduit sans surprise à 410 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 17 novembre.
Il avait bondi à 451 000 corrigés lors de la précédente, dont l'estimation préliminaire à 439 000 a dû être révisée à la hausse.
Les cours avaient bondi vers des sommets en début de journée, en raison de l'annonce de l'explosion d'un bus dans le centre de la capitale d'Israël, dénoncée comme étant une attaque terroriste par un porte-parole de Benjamin Netanyahu, premier ministre du pays.
Ils profitaient aussi des indices haussiers fournis hier par l'institut du pétrole américain.
Celui-ci avait alors déclaré que les réserves américaines avaient laissé filer 1.92 millions de barils la semaine passée alors qu'une accumulation était attendue.
Tous les yeuxx étaient désormais tournés vers l'inventaire gouvernemental devant être publié en fin de journée.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 1.02% pour grimper à 110.98 USD du baril dans le même temps, soit 23.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.55 USD le baril en seconde partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.92%, après avoir auparavant culminé à 87.18 USD.
La fièvre est en effet retombée après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait annoncé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière s'était réduit sans surprise à 410 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 17 novembre.
Il avait bondi à 451 000 corrigés lors de la précédente, dont l'estimation préliminaire à 439 000 a dû être révisée à la hausse.
Les cours avaient bondi vers des sommets en début de journée, en raison de l'annonce de l'explosion d'un bus dans le centre de la capitale d'Israël, dénoncée comme étant une attaque terroriste par un porte-parole de Benjamin Netanyahu, premier ministre du pays.
Ils profitaient aussi des indices haussiers fournis hier par l'institut du pétrole américain.
Celui-ci avait alors déclaré que les réserves américaines avaient laissé filer 1.92 millions de barils la semaine passée alors qu'une accumulation était attendue.
Tous les yeuxx étaient désormais tournés vers l'inventaire gouvernemental devant être publié en fin de journée.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 1.02% pour grimper à 110.98 USD du baril dans le même temps, soit 23.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.