Investing.com - Les options sur l'or se sont remises ce jeudi matin de leur passage à vide d'hier, les pourparlers entre les élus américains destinés à éviter la catastrophe budgétaire qui menace restant au centre des débats.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 723.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de 5 USD située entre 1 720.15 USD, leur pire cours journalier, et 1 725.95 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 708.35 USD, leur plancher de la veille, et rencontrer de la résistance à 1 754.15 USD, leur plafond de mardi.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, se situait en effet toujours au premier plan.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, a rappelé dans la soirée de mercredi garder l'espoir que les républicains pourraient trouver avec lui un terrain d'entente afin d'éviter une crise.
Le président Barack Obama estimait pour sa part que les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Cette propos optimistes ont poussé les opérateurs à bouder les refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis, au profit des valeurs plus risquées, comme les actions et les matières premières.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.12% de son côté pour se situer à 80.25.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Des achats à vil prix ont amplifié la tendance, le passage à vide de 1.5% subi mercredi attirant les investisseurs désireux de bénéficier de conditions avantageuses.
Ces pertes s'étaient creusées à l'ouverture de la corbeille, avec une hémorragie de près de 25 USD en quelques minutes.
Il se murmurait qu'une grande banque américaine désirait proroger ses options pour décembre, qui expiraient en fin de session, mais les aurait vendues par erreur une fois les hostilités lancées, ce qui pourrait expliquer ce mouvement inhabituel.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 0.15% pour glisser à 33.71 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.55% pour se retrouver à 3.557 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 723.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette de 5 USD située entre 1 720.15 USD, leur pire cours journalier, et 1 725.95 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 708.35 USD, leur plancher de la veille, et rencontrer de la résistance à 1 754.15 USD, leur plafond de mardi.
Le spectre du mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, se situait en effet toujours au premier plan.
John Boehner, à la tête de la chambre des députés, a rappelé dans la soirée de mercredi garder l'espoir que les républicains pourraient trouver avec lui un terrain d'entente afin d'éviter une crise.
Le président Barack Obama estimait pour sa part que les "fondations" d'un compromis pourraient être posées avant les fêtes.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Cette propos optimistes ont poussé les opérateurs à bouder les refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis, au profit des valeurs plus risquées, comme les actions et les matières premières.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.12% de son côté pour se situer à 80.25.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Des achats à vil prix ont amplifié la tendance, le passage à vide de 1.5% subi mercredi attirant les investisseurs désireux de bénéficier de conditions avantageuses.
Ces pertes s'étaient creusées à l'ouverture de la corbeille, avec une hémorragie de près de 25 USD en quelques minutes.
Il se murmurait qu'une grande banque américaine désirait proroger ses options pour décembre, qui expiraient en fin de session, mais les aurait vendues par erreur une fois les hostilités lancées, ce qui pourrait expliquer ce mouvement inhabituel.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 0.15% pour glisser à 33.71 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.55% pour se retrouver à 3.557 USD la livre dans le même temps.