Investing.com - Les options sur le brut ont fait du surplace ce jeudi matin, se maintenant aux abords de leur creux d'une semaine établi la veille, les yeux étant rivés sur la réunion de la Banque Centrale Européenne d'aujourd'hui et les négociations visant à éviter le mur fiscal menaçant les Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.91 USD le baril en première partie de séance européenne, n'évoluant presque pas.
Ils avaient auparavant oscillé danss une bande limitée entre 87.94 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 87.59 USD, leur plus bas.
La session d'hier les avait vus plonger à 87.49 USD, leur valeur hebdomadaire la plus basse, après que l'inventaire officiel des réserves d'essence ait montré l'accumulation de 7.9 millions de barils au cours de la semaine passée, leur plus forte augmentation depuis septembre 2001.
Ce mouvement pouvait laisser à penser que l'appétit pantagruélique du premier demandeur mondial pourrait être en train de diminuer.
L'attention restait d'autre part monopolisée par le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines précédant la date fatidique.
Le président Barack Obama s'est toutefois voulu rassurant hier, estimant que si ses adversaires républicains voulaient bien accepter d'augmenter les prélèvements des contribuables qui en avaient le plus les moyens, un accord devrait mettre "à peu près une semaine" pour être mis en place.
Il a récemment précisé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp d'en face se refuse à envisager, soutenant plutôt une diminution des niches et autres abattements fiscaux.
Les chiffres de vendredi sur l'emploi non agricole aux Etats-Unis seront aussi sous les feux de la rampe, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale et donc l'importance des besoins énergétiques.
La BCE devrait vraisemblablement décider le maintien cet après-midi de son taux d'intérêt directeur à 0.75%, mais la conférence de presse de son président Mario Draghi qui suivra sera décortiquée en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont arraché 0.1% pour grimper à 108.86 USD du baril dans le même temps, soit 20.95 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 87.91 USD le baril en première partie de séance européenne, n'évoluant presque pas.
Ils avaient auparavant oscillé danss une bande limitée entre 87.94 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 87.59 USD, leur plus bas.
La session d'hier les avait vus plonger à 87.49 USD, leur valeur hebdomadaire la plus basse, après que l'inventaire officiel des réserves d'essence ait montré l'accumulation de 7.9 millions de barils au cours de la semaine passée, leur plus forte augmentation depuis septembre 2001.
Ce mouvement pouvait laisser à penser que l'appétit pantagruélique du premier demandeur mondial pourrait être en train de diminuer.
L'attention restait d'autre part monopolisée par le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des quatre semaines précédant la date fatidique.
Le président Barack Obama s'est toutefois voulu rassurant hier, estimant que si ses adversaires républicains voulaient bien accepter d'augmenter les prélèvements des contribuables qui en avaient le plus les moyens, un accord devrait mettre "à peu près une semaine" pour être mis en place.
Il a récemment précisé que toute solution devait incorporer à la fois des dépenses en moins, mais aussi des recettes supplémentaires, et notamment une imposition moins laxiste pour les plus fortunés, ce que le camp d'en face se refuse à envisager, soutenant plutôt une diminution des niches et autres abattements fiscaux.
Les chiffres de vendredi sur l'emploi non agricole aux Etats-Unis seront aussi sous les feux de la rampe, afin d'évaluer la force de la reprise économique nationale et donc l'importance des besoins énergétiques.
La BCE devrait vraisemblablement décider le maintien cet après-midi de son taux d'intérêt directeur à 0.75%, mais la conférence de presse de son président Mario Draghi qui suivra sera décortiquée en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont arraché 0.1% pour grimper à 108.86 USD du baril dans le même temps, soit 20.95 USD de mieux que leurs homologues américaines.