Investing.com - La livre sterling a cédé le pas au dollar U.S. ce lundi, sa popularité en tant que valeur sûre ayant été renforcée par les craintes concernant la relance de l'emploi des Etats-Unis et les tractations de leurs élus au sujet de la dette maximale.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6022 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6048, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher mensuel datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.6107, son plafond de vendredi.
Le billet vert gardait du mordant suite à des résultats de l'emploi non-agricole américains peu enthousiasmants, laissant redouter un ralentissement de la reprise sur ce front.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Mais le soulagement consécutif à la ratification de la loi de contournement du mur fiscal a laissé la place à la nervosité concernant les tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever son plafond d'endettement maximal à l'horizon de février.
L'étalon américain avait aussi regagné des couleurs après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré lors de la précédente journée de cotation qu'elle envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.08% pour glisser à 0.8124.
La monnaie unique ne s'est guère trouvée encouragée par l'indice Sentix de confiance des investisseurs dans la région où elle a cours, bien que celui-ci soit remonté pour ce mois-ci depuis -16.8 vers -7, sa valeur la moins basse depuis février 2011.
Les autorités européennes comptaient ausi divulguer aujourd'hui leur inflation des coûts de la production.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6022 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6048, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6008, son plancher mensuel datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.6107, son plafond de vendredi.
Le billet vert gardait du mordant suite à des résultats de l'emploi non-agricole américains peu enthousiasmants, laissant redouter un ralentissement de la reprise sur ce front.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Mais le soulagement consécutif à la ratification de la loi de contournement du mur fiscal a laissé la place à la nervosité concernant les tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever son plafond d'endettement maximal à l'horizon de février.
L'étalon américain avait aussi regagné des couleurs après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré lors de la précédente journée de cotation qu'elle envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.08% pour glisser à 0.8124.
La monnaie unique ne s'est guère trouvée encouragée par l'indice Sentix de confiance des investisseurs dans la région où elle a cours, bien que celui-ci soit remonté pour ce mois-ci depuis -16.8 vers -7, sa valeur la moins basse depuis février 2011.
Les autorités européennes comptaient ausi divulguer aujourd'hui leur inflation des coûts de la production.