Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi après-midi, alors qu'Alcoa s'apprêtait à donner le coup d'envoie de la saison des proclamations après la clôture, malgré le malaise persistant concernant le marché de l'emploi des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,30% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Le département d'état au travail avait constaté jeudi que l'économie des Etats-Unis avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, se situant nettement au-dessous des 200.000 espérés, bien que le taux de chômage ait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février.
Les chiffres de l'activité secondaire et tertiaire, ainsi que le décompte des salariés effectué par les acteurs privés, qui avaient été dévoilés en début de semaine, avaient déjà été décevants.
Les compagnies aériennes étaient en première ligne, alors qu'il se disait que British Airways pourrait commander pour 7 milliards d'USD en Airbus 350, ce qui pourrait constituer un nouveau coup à Boeing, dont la crise ayant entraîné le maintien au sol de ses 787 Dreamliner approchait les trois mois.
La technologie était aussi sous les feux de la rampe, alors que Meg Whitman, directrice de Hewlett-Packard, semblait disposée à utiliser une nouvelle ligne de serveurs informatiques afin de donner un coup de fouet à son plan de redressement pluriannuel.
Apple croquait 0,88% en pré-ouverture, après avoir, en compagnie de six collègues, bénéficié d'une décision de justice mettant un coup d'arrêt à un éventuel procès collectif intenté par des milliers d'employés, les accusant d'avoir profité d'une entente de non-débauchages pour éviter d'augmenter leurs salaires.
L'assembleur d'ordinateurs Dell a quand à lui déclaré être prêt à rembourser le milliardaire Carl Icahn les dépenses découlant de sa participation aux enchères pour en faire l'acquisition.
Celui-ci a déclaré le 25 mars être prêt offrir 15 USD par action en liquide jusqu'à atteindre 58,1% de parts.
United Parcel Service a pour sa part fait appel de la décision de l'Union Européenne bloquant son offre de 5,16 milliards d'euros pour TNT Express, afin que l'autorité bournière clarifie ses arguments, sa cible néerlandaise précisant que cette manoeuvre ne constituait cependant pas un renouvellement de l'offre précédente.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,47%, le CAC 40 français de 0,62%, le DAX 30 allemand de 0,30% et le FTSE 100 britannique de 0,25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0,04%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,8%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,30% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Le département d'état au travail avait constaté jeudi que l'économie des Etats-Unis avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, se situant nettement au-dessous des 200.000 espérés, bien que le taux de chômage ait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février.
Les chiffres de l'activité secondaire et tertiaire, ainsi que le décompte des salariés effectué par les acteurs privés, qui avaient été dévoilés en début de semaine, avaient déjà été décevants.
Les compagnies aériennes étaient en première ligne, alors qu'il se disait que British Airways pourrait commander pour 7 milliards d'USD en Airbus 350, ce qui pourrait constituer un nouveau coup à Boeing, dont la crise ayant entraîné le maintien au sol de ses 787 Dreamliner approchait les trois mois.
La technologie était aussi sous les feux de la rampe, alors que Meg Whitman, directrice de Hewlett-Packard, semblait disposée à utiliser une nouvelle ligne de serveurs informatiques afin de donner un coup de fouet à son plan de redressement pluriannuel.
Apple croquait 0,88% en pré-ouverture, après avoir, en compagnie de six collègues, bénéficié d'une décision de justice mettant un coup d'arrêt à un éventuel procès collectif intenté par des milliers d'employés, les accusant d'avoir profité d'une entente de non-débauchages pour éviter d'augmenter leurs salaires.
L'assembleur d'ordinateurs Dell a quand à lui déclaré être prêt à rembourser le milliardaire Carl Icahn les dépenses découlant de sa participation aux enchères pour en faire l'acquisition.
Celui-ci a déclaré le 25 mars être prêt offrir 15 USD par action en liquide jusqu'à atteindre 58,1% de parts.
United Parcel Service a pour sa part fait appel de la décision de l'Union Européenne bloquant son offre de 5,16 milliards d'euros pour TNT Express, afin que l'autorité bournière clarifie ses arguments, sa cible néerlandaise précisant que cette manoeuvre ne constituait cependant pas un renouvellement de l'offre précédente.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,47%, le CAC 40 français de 0,62%, le DAX 30 allemand de 0,30% et le FTSE 100 britannique de 0,25%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0,04%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,8%.