Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre la main ce jeudi matin, les observateurs guettant les conclusions de la prise de cap de son émettrice, dans l'expectative d'une baisse des taux.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3151 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3157, perdant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3053, son plancher d'avant-hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3200, son plafond du 16 avril.
Les rumeurs de diminution des taux ont été renforcées par les récentes déconvenues économiques laissant craindre une détérioration de la situation régionale.
Il avait été noté hier que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en atteignant 12,1% au troisième mois de l'année, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour avril.
Des propos récemment tenus par des hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était.
Son communiqué précisait: "Le comité directeur est prêt à moduler le volume des acquisitions de manière à ajuster les assouplissements aux perspectives du marché du travail et de l'inflation."
Le rapport mensuel des autorités sur l'emploi non agricole américain prévu vendredi était désormais attendu avec anxiété après que son équivalent établi par l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait déçu mercredi, ravivant les inquiétudes au sujet de la solidité de la relance nationale.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP se repliant de 0,15% pour chuter à 0,8459 et l'EUR/JPY dérapant de 0,28% pour glisser à 127,99.
L'Espagne et l'Italie fourniront aujoud'hui les chiffres de leur activité manufacturière, alors que la France émettra des obligations décennales.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3151 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3157, perdant 0,16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3053, son plancher d'avant-hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3200, son plafond du 16 avril.
Les rumeurs de diminution des taux ont été renforcées par les récentes déconvenues économiques laissant craindre une détérioration de la situation régionale.
Il avait été noté hier que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en atteignant 12,1% au troisième mois de l'année, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour avril.
Des propos récemment tenus par des hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était.
Son communiqué précisait: "Le comité directeur est prêt à moduler le volume des acquisitions de manière à ajuster les assouplissements aux perspectives du marché du travail et de l'inflation."
Le rapport mensuel des autorités sur l'emploi non agricole américain prévu vendredi était désormais attendu avec anxiété après que son équivalent établi par l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait déçu mercredi, ravivant les inquiétudes au sujet de la solidité de la relance nationale.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP se repliant de 0,15% pour chuter à 0,8459 et l'EUR/JPY dérapant de 0,28% pour glisser à 127,99.
L'Espagne et l'Italie fourniront aujoud'hui les chiffres de leur activité manufacturière, alors que la France émettra des obligations décennales.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.