Investing.com - Les bourses européennes ont majoritairement retrouvé des couleurs dans l'agitation de ce jeudi après-midi, les paroles proférées hier par le chef de la banque centrale des Etats-Unis restant au centre des débats.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,13%, le CAC 40 français de 0,19%, et le DAX 30 allemand limitait les dégâts à 0,04%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le comité financier parlementaire qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a assuré que ses rachats d'actifs pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter en fonction de l'évolution de la situation économique.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
La finance gardait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,41%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,68 et 1,29%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,22 et 1,11%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,34 et 0,94%.
L'actualité était aussi le fait de l'agence de publicité Publicis se plaçait en pointe avec un bond de 4,11% après avoir revendiqué des bénéfices nets sur le premier semestre s'envolant de 15% pour se situer à 314 millions d'euros, ses recettes se contentant de 8,7% pour un total de 3,35 milliards d'euros, dépassant du coup les prédictions.
Sur le front des télécommunications, Ericsson dérapait de 2,76% suite à l'aveu de revenus inférieurs aux estimations, en raison de la virulence de la concurrence de Huawei Technologies dans le domaine de la mise en place et de l'entretien d'infrastructures téléphoniques.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,34%, après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que les ventes au détail avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings arrachant 0,31% et la Royal Bank of Scotland 0,47%, Lloyds Banking et Barclays se retrouvant dans le peloton de tête avec 0,72 et 1,01%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,19 et 0,73%, leurs concurrents Fresnillo et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 2,50 et 1,46%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, tandis que celles sur le S&P 500 laissant espérer un frémissement de 0,09% et que celles sur le Nasdaq 100 laissaient redouter un faux pas de 0,07%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,13%, le CAC 40 français de 0,19%, et le DAX 30 allemand limitait les dégâts à 0,04%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé lors de son audition semestrielle devant le comité financier parlementaire qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a assuré que ses rachats d'actifs pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter en fonction de l'évolution de la situation économique.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
La finance gardait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,41%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,68 et 1,29%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,22 et 1,11%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,34 et 0,94%.
L'actualité était aussi le fait de l'agence de publicité Publicis se plaçait en pointe avec un bond de 4,11% après avoir revendiqué des bénéfices nets sur le premier semestre s'envolant de 15% pour se situer à 314 millions d'euros, ses recettes se contentant de 8,7% pour un total de 3,35 milliards d'euros, dépassant du coup les prédictions.
Sur le front des télécommunications, Ericsson dérapait de 2,76% suite à l'aveu de revenus inférieurs aux estimations, en raison de la virulence de la concurrence de Huawei Technologies dans le domaine de la mise en place et de l'entretien d'infrastructures téléphoniques.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,34%, après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que les ventes au détail avaient augmenté comme prévu de 0,2% en juin, et de 2,2% d'une année sur l'autre.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings arrachant 0,31% et la Royal Bank of Scotland 0,47%, Lloyds Banking et Barclays se retrouvant dans le peloton de tête avec 0,72 et 1,01%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,19 et 0,73%, leurs concurrents Fresnillo et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 2,50 et 1,46%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, tandis que celles sur le S&P 500 laissant espérer un frémissement de 0,09% et que celles sur le Nasdaq 100 laissaient redouter un faux pas de 0,07%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.