Investing.com - Les options sur le brut oscillait entre légers gains et pertes minimes ce mardi matin, la nervosité ambiante se trouvant exacerbée par la crainte d'une action militaire des Etats-Unis contre le gouvernement de la Syrie.
Les yeux étaient aussi braqués sur l'état des stocks des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 105,96 USD le baril en première partie de séance européenne, sans variations notables, après avoir conclu hier à 105,92 USD, avec un faux pas de 0,5%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 105,90 USD, leur cours le plus bas du jour, et 106,59 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 104,32 USD, leur plancher du 23 août, et rencontrer de la résistance à 107,31 USD, leur plafond du 25.
Les rumeurs au sujet d'une éventuelle intervention des pays occidentaux, parmi lesquels les Etats-Unis, allaient bon train suite aux accusations selon lesquelles les forces loyales à Bachar el-Assad auraient employé des armes chimiques contre la population.
Le secrétaire d'état américain John Kerry a du coup déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités si cela devait être le cas.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse faire tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Les observateurs craignent particulièrement une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
Les prix patinaient cependant en raison des incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce, nuisant du coup à la populariité des valeurs audacieuses.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une diminution de 100.000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grignoté 0,05% pour se hisser à 110,79 USD du baril dans le même temps, soit 4,83 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint le 2 avril un pic à 111,61 USD.
Les troubles autour de la Méditerranée les ont stimulés ces derniers temps, alimentant l'angoisse d'une interruption des flux de la région.
Celle-ci, comprenant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord représente 36% de la capacité de la planète, et détenait 52% de ses réserves avérées en 2012.
Les yeux étaient aussi braqués sur l'état des stocks des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 105,96 USD le baril en première partie de séance européenne, sans variations notables, après avoir conclu hier à 105,92 USD, avec un faux pas de 0,5%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 105,90 USD, leur cours le plus bas du jour, et 106,59 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 104,32 USD, leur plancher du 23 août, et rencontrer de la résistance à 107,31 USD, leur plafond du 25.
Les rumeurs au sujet d'une éventuelle intervention des pays occidentaux, parmi lesquels les Etats-Unis, allaient bon train suite aux accusations selon lesquelles les forces loyales à Bachar el-Assad auraient employé des armes chimiques contre la population.
Le secrétaire d'état américain John Kerry a du coup déclaré que le président Obama mettrait les autorités de Damas devant leurs responsabilités si cela devait être le cas.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse faire tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Les observateurs craignent particulièrement une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
Les prix patinaient cependant en raison des incertitudes persistantes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis diminuera l'ampleur de ses coups de pouce, nuisant du coup à la populariité des valeurs audacieuses.
Elle se réunira les 17 et 18 septembre afin d'évaluer l'état de l'économie, et les mesures à prendre en conséquence.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une diminution de 100.000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont grignoté 0,05% pour se hisser à 110,79 USD du baril dans le même temps, soit 4,83 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient atteint le 2 avril un pic à 111,61 USD.
Les troubles autour de la Méditerranée les ont stimulés ces derniers temps, alimentant l'angoisse d'une interruption des flux de la région.
Celle-ci, comprenant le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord représente 36% de la capacité de la planète, et détenait 52% de ses réserves avérées en 2012.