Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un recul de 2,42% mardi, affecté par les risques d'intervention militaire en Syrie, alors que les spéculations entourant l'avenir des rachats d'actifs de la Réserve fédérale persistaient.
Les investisseurs sont restés prudents après les déclarations du secrétaire d’Etat américain John, selon lesquelles les Etats-Unis pourraient envisager une action militaire en Syrie à la suite de l’utilisation d’armes chimiques contre la population civile.
Sur le front des statistiques, les prix des maisons dans 20 métropoles américaines ont augmenté de 12,1% sur un an en juin, soit un léger ralentissement par rapport à mai (+12,2%).
En ce qui concerne la confiance du consommateur américain, l’indice établi par le Conference Board a progressé à 81,5 points, contre 81 en juillet et 79 anticipés par le marché.
Par ailleurs, l'indice Ifo allemand a enregistré sa quatrième hausse mensuelle consécutive en août pour s’établir à 107,5 points, contre 106,2 en juillet et 107 anticipés par les analystes.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge, en fin de séance. A mi-séance, BNP Paribas abandonnait 3,21%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 4,36% et 4,03% respectivement.
Selon Reuters, la Société Générale vise 420 départs volontaires dans le cadre de son plan de 600 à 700 suppressions de postes dans les services centraux parisiens de la banque.
Les valeurs automobiles restaient elles aussi en baisse, avec Renault en repli de 4,56% à la fermeture du marché, alors que UBS est passé de "neutre" à "achat" sur son concurrent Peugeot, avec un objectif de cours passé de 6 à 15 euros.
Par ailleurs, Carrefour signait l'une des plus mauvaises performaces de l'indice parisien, pliant de 4,49% en fin de journée. Lundi, le groupe a annoncé une croissance de 1,3% des ventes au deuxième trimestre en France et de 2,6% à l'international, remarquant notamment une croissance en Amérique latine et en Chine.
Accor a effacé ses gains de première moitié de séance et reculait de 1,51% la clôture du CAC 40. Plus tôt dans la journée, plusieurs médias rapportaient que Sébastien Bazin, directeur général du fonds Colony Capital Europe, devrait être nommé PDG du groupe hôtelier à l’issue d’un conseil d’administration prévu mardi matin.
Colony Capital détient 10% des intérêts du groupe.
Enfin, Total a vascillé entre gains et pertes, pour terminer la séance en retrait de 0,10%, après le rebond du cours du pétrole lié aux inquiétudes d'approvisionnements entourant les tensions au Moyen-Orient.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 2,46% et le DAX abandonnait 2,27%, tandis que le Footsie 100 reculait de 0,75%.
Les investisseurs sont restés prudents après les déclarations du secrétaire d’Etat américain John, selon lesquelles les Etats-Unis pourraient envisager une action militaire en Syrie à la suite de l’utilisation d’armes chimiques contre la population civile.
Sur le front des statistiques, les prix des maisons dans 20 métropoles américaines ont augmenté de 12,1% sur un an en juin, soit un léger ralentissement par rapport à mai (+12,2%).
En ce qui concerne la confiance du consommateur américain, l’indice établi par le Conference Board a progressé à 81,5 points, contre 81 en juillet et 79 anticipés par le marché.
Par ailleurs, l'indice Ifo allemand a enregistré sa quatrième hausse mensuelle consécutive en août pour s’établir à 107,5 points, contre 106,2 en juillet et 107 anticipés par les analystes.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge, en fin de séance. A mi-séance, BNP Paribas abandonnait 3,21%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 4,36% et 4,03% respectivement.
Selon Reuters, la Société Générale vise 420 départs volontaires dans le cadre de son plan de 600 à 700 suppressions de postes dans les services centraux parisiens de la banque.
Les valeurs automobiles restaient elles aussi en baisse, avec Renault en repli de 4,56% à la fermeture du marché, alors que UBS est passé de "neutre" à "achat" sur son concurrent Peugeot, avec un objectif de cours passé de 6 à 15 euros.
Par ailleurs, Carrefour signait l'une des plus mauvaises performaces de l'indice parisien, pliant de 4,49% en fin de journée. Lundi, le groupe a annoncé une croissance de 1,3% des ventes au deuxième trimestre en France et de 2,6% à l'international, remarquant notamment une croissance en Amérique latine et en Chine.
Accor a effacé ses gains de première moitié de séance et reculait de 1,51% la clôture du CAC 40. Plus tôt dans la journée, plusieurs médias rapportaient que Sébastien Bazin, directeur général du fonds Colony Capital Europe, devrait être nommé PDG du groupe hôtelier à l’issue d’un conseil d’administration prévu mardi matin.
Colony Capital détient 10% des intérêts du groupe.
Enfin, Total a vascillé entre gains et pertes, pour terminer la séance en retrait de 0,10%, après le rebond du cours du pétrole lié aux inquiétudes d'approvisionnements entourant les tensions au Moyen-Orient.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 lâchait 2,46% et le DAX abandonnait 2,27%, tandis que le Footsie 100 reculait de 0,75%.