Investing.com - Les options sur l'or oscillait entre légers gains et pertes minimes ce mardi matin, sur fond d'incertitudes sur le moment où la banque centrale des Etats-Unis réduira le volume de ses aides.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.322,90 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.32&,70 USD, leur pire cours journalier, et 1.329,40 USD, leur meilleur, après avoir conclu hier à 1.327,00 USD, en repli de 0,4%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher du 18 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.375,10 USD, leur plafond du lendemain.
William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, a en effet déclaré hier qu'une "politique monétaire très assouplie" demeurait nécessaire pour soutenir l'économie américaine.
Il a ajouté, après avoir voté pour le statu quo la semaine passée, que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était pas exclu qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses injections de liquidités.
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais avant la fin d'année, consécutif à une économie en voie de rémission.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,9% pour glisser à 21,65 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,8% pour se retrouver à 3,271 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.322,90 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.32&,70 USD, leur pire cours journalier, et 1.329,40 USD, leur meilleur, après avoir conclu hier à 1.327,00 USD, en repli de 0,4%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.291,70 USD, leur plancher du 18 septembre, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.375,10 USD, leur plafond du lendemain.
William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, a en effet déclaré hier qu'une "politique monétaire très assouplie" demeurait nécessaire pour soutenir l'économie américaine.
Il a ajouté, après avoir voté pour le statu quo la semaine passée, que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était pas exclu qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Elle se réunira les 29 et 30 octobre afin d'en décider.
Les cours avaient ainsi connu une flambée dépassant les 4,5% après que la Réserve Fédérale ait opté pour le statu quo à l'égard de ses injections de liquidités.
Cette nouvelle avait surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards d'USD.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les cours semblent être partis pour subir près de 22% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'un assèchement des perfusions d'argent frais avant la fin d'année, consécutif à une économie en voie de rémission.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs reculé de 0,9% pour glisser à 21,65 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0,8% pour se retrouver à 3,271 USD la livre dans le même temps.