Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, dans un creux de cinq semaines par rapport à son homologue nippon, et dans des situations similaires contre les autres, sur fond d'inquiétudes grandissantes causées par les chicaneries politiques à Washington.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à son pire niveau depuis la fin août, l'USD/JPY trébuchant de 0,58% pour se retrouver à 97,45.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la mise à pied partielle de leurs services, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Cette dernière avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Il en allait de même dans une mesure bien moindre avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3533.
La monnaie unique demeurait sur la sellette alors qu'en Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La Banque Centrale Européenne procèdera aussi à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,15% pour se hisser à 1,6219, lorgnant vers un pic de neuf mois.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction là où elle a cours avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le groupe de recherches économiques Markit avait ainsi constaté une érosion de son indice des directeurs des achats des entrepreneurs de travaux depuis les 59,1 d'août vers 58,9, au lieu des 59,2 espérés.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,10% pour tomber à 0,9047, frôlant une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sommbrant de 0,54% pour descendre à 0,9346, le NZD/USD laissant échapper 0,53% pour toucher le fond à 0,8231 et l'USD/CAD progressant de 0,19% pour aller vers 1,0345.
La première s'était trouvée fragilisée après que le solde du commerce extérieur de l'Australie ait dépassé les craintes en août, et que le volume des permis de construire accordés avait davantage diminué qu'il était craint.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,20.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à son pire niveau depuis la fin août, l'USD/JPY trébuchant de 0,58% pour se retrouver à 97,45.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la mise à pied partielle de leurs services, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Cette dernière avait supris certains analystes en déclarant le mois passé qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de réviser ses orientations.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Il en allait de même dans une mesure bien moindre avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,06% pour grimper à 1,3533.
La monnaie unique demeurait sur la sellette alors qu'en Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La Banque Centrale Européenne procèdera aussi à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,15% pour se hisser à 1,6219, lorgnant vers un pic de neuf mois.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction là où elle a cours avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le groupe de recherches économiques Markit avait ainsi constaté une érosion de son indice des directeurs des achats des entrepreneurs de travaux depuis les 59,1 d'août vers 58,9, au lieu des 59,2 espérés.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,10% pour tomber à 0,9047, frôlant une ornière de 19 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sommbrant de 0,54% pour descendre à 0,9346, le NZD/USD laissant échapper 0,53% pour toucher le fond à 0,8231 et l'USD/CAD progressant de 0,19% pour aller vers 1,0345.
La première s'était trouvée fragilisée après que le solde du commerce extérieur de l'Australie ait dépassé les craintes en août, et que le volume des permis de construire accordés avait davantage diminué qu'il était craint.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 80,20.