Investing.com - la livre sterling a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mardi matin, guettant la publication avec retard des chiffres de l'emploi américains de septembre, sur fond de rumeurs concernant le moment où la Réserve Fédérale diminuera l'importance de ses rachats d'actifs.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6116 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,6129, laissant échapper 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6020, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,6224, son plafond du 18 octobre.
Le billet vert s'est en effet largement retrouvé en difficulté en fin de semaine, en raison de la crainte des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée.
Leurs conséquences sur la croissance pourraient ainsi encourager la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Les yeux étaient désormais tournés vers le rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre, afin d'évaluer le moment où elle réduira la voilure de ses apports de capitaux.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,08% pour se hisser à 0,8478.
Le Royaume-Uni comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume officiel des emprunts de son secteur public.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6116 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 17 octobre, puis s'est stabilisée vers 1,6129, laissant échapper 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6020, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,6224, son plafond du 18 octobre.
Le billet vert s'est en effet largement retrouvé en difficulté en fin de semaine, en raison de la crainte des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis sur une relance déjà fragilisée.
Leurs conséquences sur la croissance pourraient ainsi encourager la Réserve Fédérale à repousser la fermeture du robinet de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Les yeux étaient désormais tournés vers le rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre, afin d'évaluer le moment où elle réduira la voilure de ses apports de capitaux.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,08% pour se hisser à 0,8478.
Le Royaume-Uni comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume officiel des emprunts de son secteur public.