Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le yen prendre la main ce mardi matin, sur fond de probabilités de poursuite de la politique d'argent facile de son émettrice, tandis que l'idée de réformes économiques chinoises profondes provoquait l'enthousiasme.
La paire USD/JPY est descendue de 99,97 jusqu'à 99,77 en fin de séance asiatique, perdant 0,23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 99,00, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 100,38, son plafond d'hier.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs actuels au début de l'année prochaine.
Ses pertes demeuraient cependant jugulées par William Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, déclarant hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sera au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
L'ambiance demeurait nettement enjouée, après que la Chine ait dévoilé les grandes lignes d'une série de mesures économiques primordiales, renforçant du coup la confiance des investisseurs à son égard.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,15% pour glisser à 134,83.
Il en allait de même contre l'étalon américain, l'EUR/USD grignotant 0,07% pour frémir à 1,3514.
Le groupe de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à fournir incessamment son baromètre de l'humeur économique de l'Allemagne.
La paire USD/JPY est descendue de 99,97 jusqu'à 99,77 en fin de séance asiatique, perdant 0,23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 99,00, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 100,38, son plafond d'hier.
Le billet vert demeurait en effet sur la sellette après que les commentaires favorables aux taux faibles de Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la banque centrale américaine, aient conforté l'hypothèse du maintien de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs actuels au début de l'année prochaine.
Ses pertes demeuraient cependant jugulées par William Dudley, chef de la réserve fédérale de New York, déclarant hier avoir l'espoir que l'économie s'améliore, et ajouté que les incertitudes budgétaires qui avaient mis un frein à la croissance avaient des chances de se dissiper au cours des mois prochains.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu demain, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sera au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
L'ambiance demeurait nettement enjouée, après que la Chine ait dévoilé les grandes lignes d'une série de mesures économiques primordiales, renforçant du coup la confiance des investisseurs à son égard.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,15% pour glisser à 134,83.
Il en allait de même contre l'étalon américain, l'EUR/USD grignotant 0,07% pour frémir à 1,3514.
Le groupe de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à fournir incessamment son baromètre de l'humeur économique de l'Allemagne.