Investing.com - Les options sur le brut n'ont guère réussi à s'éloigner de leur ornière de huit semaines établie hier ce jeudi matin, l'évolution de la situation dans la zone euro restant au centre des attentions, sur fond d'inquiétude concernant la gestion de la crise par l'Espagne et la Grèce.
Les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiale et les indices d'une augmentation des extractions de l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial, n'étaient pas non plus à négliger.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 90.04 USD le baril en première partie de séance européenne, arrachant 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une bande étroite entre 90.55 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 89.89 USD, leur plus bas, après avoir touché le fond mercredi à 88.97 USD, leur pire valeur depuis le 3 août.
Les opérateurs restaient échaudés par les hésitations de Madrid à demander une bouée de sauvetage et ainsi déclencher le programme de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne, les taux de ses obligations décennales se trouvant tirés au-dessus des 6% pour la première fois en trois semaines par l'angoisse à propos du financement national.
Le gouvernement espagnol devrait présenter aujourd'hui les grandes lignes de son budget 2013 et dévoiler des réformes structurelles, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus demain.
Des manifestants se sont heurtés cette semaine aux forces de l'ordre dans les rues d'Athènes et de Madrid, en raison de la vindicte populaire déclenchée par les nouvelles mesures de rigueur imposées aux deux économies les plus fragilisées de la région.
L'affaiblissement de l'étalon américain a toutefois contribué à limiter la tendance baissière, celui-ci se retrouvant sur la sellette suite à un apport de capitaux sans signes avant-coureurs de la part de la banque centrale chinoise.
La Banque Populaire de Chine aurait en effet injecté la somme record de 365 milliards de CNY, soit 58 milliards d'USD, dans le système bancaire national, lui permettant de se renflouer avant la fin du trimestre en cours et la "semaine dorée" de congés imminente.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.1% de son côté pour se situer à 79.8.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont grignoté 0.15% pour grimper à 110.22 USD du baril dans le même temps, soit 20.18 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiale et les indices d'une augmentation des extractions de l'Arabie Saoudite, premier exportateur mondial, n'étaient pas non plus à négliger.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 90.04 USD le baril en première partie de séance européenne, arrachant 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une bande étroite entre 90.55 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 89.89 USD, leur plus bas, après avoir touché le fond mercredi à 88.97 USD, leur pire valeur depuis le 3 août.
Les opérateurs restaient échaudés par les hésitations de Madrid à demander une bouée de sauvetage et ainsi déclencher le programme de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne, les taux de ses obligations décennales se trouvant tirés au-dessus des 6% pour la première fois en trois semaines par l'angoisse à propos du financement national.
Le gouvernement espagnol devrait présenter aujourd'hui les grandes lignes de son budget 2013 et dévoiler des réformes structurelles, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus demain.
Des manifestants se sont heurtés cette semaine aux forces de l'ordre dans les rues d'Athènes et de Madrid, en raison de la vindicte populaire déclenchée par les nouvelles mesures de rigueur imposées aux deux économies les plus fragilisées de la région.
L'affaiblissement de l'étalon américain a toutefois contribué à limiter la tendance baissière, celui-ci se retrouvant sur la sellette suite à un apport de capitaux sans signes avant-coureurs de la part de la banque centrale chinoise.
La Banque Populaire de Chine aurait en effet injecté la somme record de 365 milliards de CNY, soit 58 milliards d'USD, dans le système bancaire national, lui permettant de se renflouer avant la fin du trimestre en cours et la "semaine dorée" de congés imminente.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.1% de son côté pour se situer à 79.8.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont grignoté 0.15% pour grimper à 110.22 USD du baril dans le même temps, soit 20.18 USD de mieux que leurs homologues américaines.