Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. et en baisse mitigée devant ses autres concurrents les plus importants ce mardi, la force inattendue des résultats allemands et la réussite de la vente de dettes espagnoles ayant stimulé la demande pour les investissements plus audacieux.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.63% pour grimper à 1.3088.
L'humeur des observateurs se trouvait ragaillardie après que l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, prenant de court les experts n'espérant pas le voir dépasser 106.2.
L'Espagne a quand à elle vu les coûts de ses emprunts reculer fortement lors de ses enchères pour des obligations à trois et six mois.
Elle a en effet émis davantage que les 4.5 milliards d'euros prévus, en levant 7 milliards avec échéance trimestrielle à un taux moyen de 1.73%, contre 5.11% constatés lors d'une action similaire le mois dernier.
Celles prenant fin à un semestre ont représenté 1.92 milliards d'euros de leur côté, à 2.43% de dividendes contre 5.22% précédemment.
Les acteurs des marchés demeuraient toutefois prudents après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait pour sa part répété hier que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
La monnaie unique a par contre cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.21% pour glisser à 0.8368.
Une étude signalait ce matin que les ventes au détail mesurées par la confédération des entreprises britanniques CBI avaient connu en décembre leur plus forte progression, avertissant toutefois qu'elle avaient de fortes chances de replonger après les fêtes de fin d'année.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY se hissant de 0.54% pour se retrouver à 101.99 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.04% pour tomber à 1.2178.
Des informations émanant des autorités helvétiques avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial du pays avait davantage augmenté en novembre que prévu, les exportations prenant 3.8% à l'année pour totaliser 17.75 milliards de CHF, pour porter le surplus du commerce extérieur à 3 milliards de franc suisse.
Le devise européenne a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 1.35, l'EUR/USD laissant échapper 0.39% pour descendre à 1.3083 et l'EUR/NZD se repliant de 0.35% pour toucher le fond à 1.7141.
L'envolée de l'aussie est survenue après que le compte-rendu de la réunion du 6 décembre du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé que les membres de celui-ci prévoyaient une progression continue de l'économie nationale.
Les Etats-Unis prévoyaient quand à eux de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.
En fin de première partie de séance européenne, le billet vert a fléchi devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.63% pour grimper à 1.3088.
L'humeur des observateurs se trouvait ragaillardie après que l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, prenant de court les experts n'espérant pas le voir dépasser 106.2.
L'Espagne a quand à elle vu les coûts de ses emprunts reculer fortement lors de ses enchères pour des obligations à trois et six mois.
Elle a en effet émis davantage que les 4.5 milliards d'euros prévus, en levant 7 milliards avec échéance trimestrielle à un taux moyen de 1.73%, contre 5.11% constatés lors d'une action similaire le mois dernier.
Celles prenant fin à un semestre ont représenté 1.92 milliards d'euros de leur côté, à 2.43% de dividendes contre 5.22% précédemment.
Les acteurs des marchés demeuraient toutefois prudents après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait pour sa part répété hier que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
La monnaie unique a par contre cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.21% pour glisser à 0.8368.
Une étude signalait ce matin que les ventes au détail mesurées par la confédération des entreprises britanniques CBI avaient connu en décembre leur plus forte progression, avertissant toutefois qu'elle avaient de fortes chances de replonger après les fêtes de fin d'année.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY se hissant de 0.54% pour se retrouver à 101.99 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.04% pour tomber à 1.2178.
Des informations émanant des autorités helvétiques avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial du pays avait davantage augmenté en novembre que prévu, les exportations prenant 3.8% à l'année pour totaliser 17.75 milliards de CHF, pour porter le surplus du commerce extérieur à 3 milliards de franc suisse.
Le devise européenne a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.01% pour aller vers 1.35, l'EUR/USD laissant échapper 0.39% pour descendre à 1.3083 et l'EUR/NZD se repliant de 0.35% pour toucher le fond à 1.7141.
L'envolée de l'aussie est survenue après que le compte-rendu de la réunion du 6 décembre du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé que les membres de celui-ci prévoyaient une progression continue de l'économie nationale.
Les Etats-Unis prévoyaient quand à eux de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.