Investing.com - Les options sur le brut sont retombées de leur pic des sept derniers jours lors d'échanges chaotiques en fin de semaine, amenuisant une forte progression ayant fait suite aux chiffres de l'emploi américain dépassant les attentes après que l'agence Fitch ait abaissé sa notation de l'Italie et de l'Espagne.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 82.72 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, réalisant tout de même un bond de 4.78% sur la semaine, le plus fort depuis début mars.
Ils avaient auparavant culminé à 83.89 USD, leur cours le plus élevé depuis le 28 septembre, après la révélation de la bonne surprise concernant l'emploi aux Etats-Unis.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 103 000 emplois privés non agricoles en septembre, soit près du double des 53 000 espérés, et 99 000 révisés sur les deux mois précédents, le taux de chômage restant toutefois stable à 9.1%.
Les gains se sont toutefois trouvés rabotés après que l'Italie ait été ramenée de AA- vers A+ et l'Espagne de deux crans vers AA+ vers AA- par l'agence de notation, invoquant l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et la situation fiscale des deux pays.
Sa collègue Moody's a pour sa part remis en cause sa notation de la Belgique en vue d'une possible dégradation, prétextant des difficultés concernant l'approvisionnement en liquidités à long terme et un endettement public important.
Ces nouvelles ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les monnaies à forts dividendes, et à s'en tenir notament au billet vert, traditionnellement considéré comme plus sûr.
L'or noir s'était retrouvé sur la sellette ces dernières semaines en raison des craintes concernant crise de la dette souveraine de la zone euro et les perspectives de croissance économique mondiales, chutant mardi dans une ornière annuelle à 74.95 USD, avant de rebondir avec trois jours de progression successifs.
Les cours ont repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait déclaré mardi que cette dernière était prête à faire davantage pour encourager la croissance américaine, la reprise nationale ayant été plus faible qu'espéré.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis les a également soutenus avec son rapport hebdomadaire, indiquant que les réserves pétrolières du pays avaient fondu de 4.7 millions de barils la semaien passée, alors qu'une augmentation de 1.5 millinos de barils était attendue.
La journée de jeudi les a même vu engranger près de 3.5% après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé des mesures destinées à augmenter les liquidités à disposition des prêteurs de la zone euro, tandis que la Banque d'Angleterre annonçait une nouvelle série de mesures d'assouplissement monétaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 2.02% pour grimper à 104.06 USD du baril dans le même temps, soit 21.35 USD de mieux que leurs homologues américaines, avec lesquelles l'écart se réduisait.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 82.72 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, réalisant tout de même un bond de 4.78% sur la semaine, le plus fort depuis début mars.
Ils avaient auparavant culminé à 83.89 USD, leur cours le plus élevé depuis le 28 septembre, après la révélation de la bonne surprise concernant l'emploi aux Etats-Unis.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 103 000 emplois privés non agricoles en septembre, soit près du double des 53 000 espérés, et 99 000 révisés sur les deux mois précédents, le taux de chômage restant toutefois stable à 9.1%.
Les gains se sont toutefois trouvés rabotés après que l'Italie ait été ramenée de AA- vers A+ et l'Espagne de deux crans vers AA+ vers AA- par l'agence de notation, invoquant l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et la situation fiscale des deux pays.
Sa collègue Moody's a pour sa part remis en cause sa notation de la Belgique en vue d'une possible dégradation, prétextant des difficultés concernant l'approvisionnement en liquidités à long terme et un endettement public important.
Ces nouvelles ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les monnaies à forts dividendes, et à s'en tenir notament au billet vert, traditionnellement considéré comme plus sûr.
L'or noir s'était retrouvé sur la sellette ces dernières semaines en raison des craintes concernant crise de la dette souveraine de la zone euro et les perspectives de croissance économique mondiales, chutant mardi dans une ornière annuelle à 74.95 USD, avant de rebondir avec trois jours de progression successifs.
Les cours ont repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait déclaré mardi que cette dernière était prête à faire davantage pour encourager la croissance américaine, la reprise nationale ayant été plus faible qu'espéré.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis les a également soutenus avec son rapport hebdomadaire, indiquant que les réserves pétrolières du pays avaient fondu de 4.7 millions de barils la semaien passée, alors qu'une augmentation de 1.5 millinos de barils était attendue.
La journée de jeudi les a même vu engranger près de 3.5% après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé des mesures destinées à augmenter les liquidités à disposition des prêteurs de la zone euro, tandis que la Banque d'Angleterre annonçait une nouvelle série de mesures d'assouplissement monétaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 2.02% pour grimper à 104.06 USD du baril dans le même temps, soit 21.35 USD de mieux que leurs homologues américaines, avec lesquelles l'écart se réduisait.