Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, subissant la pression de l'hypothèse selon laquelle les taux d'intérêt des Etats-Unis devraient rester faibles dans les prochains mois.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.25% pour grimper à 1.4861.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les ventes au détail de la zone euro avaient nettement diminué en mars, mettant en évidence un affaiblissement de la demande des ménages.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.19% pour monter à 1.6517.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'activité du secteur du bâtiment de la Grande-Bretagne avait davantage diminué en avril que prévu, tandis que les prêts aux consommateurs et aux acquéreurs de logements du pays connaissaient en mars une croissance décevante.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.23% pour se retrouver à 81.12 et l'USD/CHF grignotant 0.12% pour se hisser à 0.8623.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.08% pour aller vers 0.9533, l'AUD/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.0832 et le NZD/USD trébuchant de 0.93% pour toucher le fond à 0.791.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.13%.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP devrait dévoiler son étude sur la masse salariale en cours de journée tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera son indice des directeurs des achats dans le domaine non-manufacturier.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.25% pour grimper à 1.4861.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que les ventes au détail de la zone euro avaient nettement diminué en mars, mettant en évidence un affaiblissement de la demande des ménages.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.19% pour monter à 1.6517.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'activité du secteur du bâtiment de la Grande-Bretagne avait davantage diminué en avril que prévu, tandis que les prêts aux consommateurs et aux acquéreurs de logements du pays connaissaient en mars une croissance décevante.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY arrachant 0.23% pour se retrouver à 81.12 et l'USD/CHF grignotant 0.12% pour se hisser à 0.8623.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.08% pour aller vers 0.9533, l'AUD/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.0832 et le NZD/USD trébuchant de 0.93% pour toucher le fond à 0.791.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.13%.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP devrait dévoiler son étude sur la masse salariale en cours de journée tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera son indice des directeurs des achats dans le domaine non-manufacturier.