Investing.com - La livre sterling est tombée à son plus bas niveau en deux mois face au dollar U.S. ce jeudi, sur fond de rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre annoncerait de nouvelles mesures de stimulation destinées à encourager la croissance britannique après sa réunion prévue pour aujourd'hui.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5914 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 juillet, puis s'est stabilisée vers 1.5931, perdant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.578, son plancher des cinq derniers mois datant du 12 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.6038, son plafond de mercredi.
Les informations divulguées hier avaient montré que la production industrielle du Royaume-Uni avaient diminué en juillet de manière inattendue, faisant suite à celles soulignant la semaine dernière la plus forte contraction manufacturière mensuelle depuis plus longtemps que deux ans, et le recul le plus inquiétant de la croissance du secteur tertiaire depuis plus d'une décennie.
Cette série de résultats négatifs, avec les craintes concernant la croissance économique mondiale en toile de fond, ont conforté l'hypothèse selon laquelle la banque centrale du pays pourrait recourir à des injections de capitaux pour soutenir le renforcement de son économie.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.19% pour se hisser à 0.8833.
Les Etats-Unis feront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la banque centrale du pays, prendra la parole, et que le président Obama dévoilera ses mesures de soutien à l'emploi devant le congrès.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5914 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 juillet, puis s'est stabilisée vers 1.5931, perdant 0.36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.578, son plancher des cinq derniers mois datant du 12 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.6038, son plafond de mercredi.
Les informations divulguées hier avaient montré que la production industrielle du Royaume-Uni avaient diminué en juillet de manière inattendue, faisant suite à celles soulignant la semaine dernière la plus forte contraction manufacturière mensuelle depuis plus longtemps que deux ans, et le recul le plus inquiétant de la croissance du secteur tertiaire depuis plus d'une décennie.
Cette série de résultats négatifs, avec les craintes concernant la croissance économique mondiale en toile de fond, ont conforté l'hypothèse selon laquelle la banque centrale du pays pourrait recourir à des injections de capitaux pour soutenir le renforcement de son économie.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.19% pour se hisser à 0.8833.
Les Etats-Unis feront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la banque centrale du pays, prendra la parole, et que le président Obama dévoilera ses mesures de soutien à l'emploi devant le congrès.