Investing.com - L'euro a légèrement progressé face au dollar U.S. ce mardi, mais est resté à portée de main de son creux des 10 derniers mois atteint hier, sur fond d'angoisse d'une contagion de l'Espagne ou de l'Italie par la crise de la dette de la région.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4081 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4054, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3968, son plancher des 10 semaines écoulées datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.4144, son plafond du même jour.
Standard & Poor's avait placé samedi l'Italie sous une perspective négative au lieu de stable, et le parti socialiste espagnol au pouvoir a connu sa pire défaite en plus de trente ans lors des élections locales de la fin de semaine, entraînant des interrogations sur la façon dont le pays comptera remplir ses objectifs fiscaux.
Les rumeurs allant toujours bon train concernant une éventuelle restructuration de la dette grecque ont continué à tirer la devise européenne vers le bas, sur fond de manque de consensus parmi les décideurs européens, dont une bonne partie reste opposée à tout aménagement.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.22% pour se hisser à 0.8733.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, avait par ailleurs déclaré hier que la banque centrale amééricaine maintiendrait ses taux d'intérêt à leur plus bas niveau historique après la fin en juin de la seconde série d'injections de capitaux, afin de laisser plus de temps pour évaluer la force de l'économie des Etats-Unis.
Il a également précisé que cette dernière risquait de rencontrer des obstacles si les craintes concernant le futur de l'euro devaient entraîner une instabilité "prolongée" des marchés.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4081 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4054, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3968, son plancher des 10 semaines écoulées datant de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.4144, son plafond du même jour.
Standard & Poor's avait placé samedi l'Italie sous une perspective négative au lieu de stable, et le parti socialiste espagnol au pouvoir a connu sa pire défaite en plus de trente ans lors des élections locales de la fin de semaine, entraînant des interrogations sur la façon dont le pays comptera remplir ses objectifs fiscaux.
Les rumeurs allant toujours bon train concernant une éventuelle restructuration de la dette grecque ont continué à tirer la devise européenne vers le bas, sur fond de manque de consensus parmi les décideurs européens, dont une bonne partie reste opposée à tout aménagement.
La monnaie unique a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.22% pour se hisser à 0.8733.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, avait par ailleurs déclaré hier que la banque centrale amééricaine maintiendrait ses taux d'intérêt à leur plus bas niveau historique après la fin en juin de la seconde série d'injections de capitaux, afin de laisser plus de temps pour évaluer la force de l'économie des Etats-Unis.
Il a également précisé que cette dernière risquait de rencontrer des obstacles si les craintes concernant le futur de l'euro devaient entraîner une instabilité "prolongée" des marchés.