Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à tous ses concurrents les plus importants ce mardi, tandis que l'euro s'élevait, retrouvant des partisans après qu'une étude ait montré que la confiance dans les affaires de l'Allemagne avait progressé sans crier gare ce mois-ci.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3045.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, prenant de court les experts n'espérant pas le voir dépasser 106.2.
La progression de la monnaie unique semblait toutefois destinée à demeurer limitée, en raison des doutes concernant la gestion du problème du surendettement régional.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se sont en effet mis d'accord hier pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.73% pour se hisser à 1.5612.
Une étude du prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant montré une progression de son indice de la confiance des consommateurs, s'élevant à 40 en novembre contre 36, son plus bas niveau historique datant du mois précédent, mais demeurait toutefois en territoire négatif sur fond d'inquiétudes concernant le chômage et le taaux d'inflation.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.2% pour se retrouver à 77.88 et l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.9344.
Des informations émanant des autorités suisses avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial de la Suisse avait davantage augmenté en novembre que prévu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.43% pour aller vers 1.0342, l'AUD/USD raflant 0.86% pour monter à 0.9982 et le NZD/USD engrangeant 0.79% pour culminer à 0.7615.
L'envolée de l'aussie est survene après que le compte-rendu de la réunion du 6 décembre du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé que les membres de celui-ci prévoyaient une progression continue de l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15% pour se situer à 80.82.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, et les Etats-Unis feraient de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3045.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice du climat dans les affaires avait dépassé les attentes pour monter à 107.2, prenant de court les experts n'espérant pas le voir dépasser 106.2.
La progression de la monnaie unique semblait toutefois destinée à demeurer limitée, en raison des doutes concernant la gestion du problème du surendettement régional.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se sont en effet mis d'accord hier pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.73% pour se hisser à 1.5612.
Une étude du prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant montré une progression de son indice de la confiance des consommateurs, s'élevant à 40 en novembre contre 36, son plus bas niveau historique datant du mois précédent, mais demeurait toutefois en territoire négatif sur fond d'inquiétudes concernant le chômage et le taaux d'inflation.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.2% pour se retrouver à 77.88 et l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.9344.
Des informations émanant des autorités suisses avaient indiqué en début de matinée que l'excédent commercial de la Suisse avait davantage augmenté en novembre que prévu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.43% pour aller vers 1.0342, l'AUD/USD raflant 0.86% pour monter à 0.9982 et le NZD/USD engrangeant 0.79% pour culminer à 0.7615.
L'envolée de l'aussie est survene après que le compte-rendu de la réunion du 6 décembre du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ait signalé que les membres de celui-ci prévoyaient une progression continue de l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15% pour se situer à 80.82.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, et les Etats-Unis feraient de dévoiler dans l'après-midi le nombre officiel des permis de construire et celui des lancements de chantiers.