Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse pour la première fois en six jours ce lundi, rebondissant de leur plus forte chute depuis décembre 2008, l'idée selon laquelle la reprise américaine serait en train de prendre de l'élan tirant les cours vers le haut, de même que le mollissement du billet vert.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 99.08 USD le baril en fin de séance asiatique, gagnant 1%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.25 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.2% de progression.
Des chiffres officiels ont en effet montré vendredi l'ajout de 244 000 postes à la masse salariale non agricole américaine, soit nettement plus que les 185 000 prévus, l'emploi du secteur privé enregistrant sa meilleure performance en cinq ans.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.43% pour se situer à 74.84, retombant de son pic des deux dernières semaines.
Mohammed bin Saleh al-Sada, ministre du pétrole du Qatar, a déclaré en fin de semaine que l'économie mondiale n'était "pas assez faible pour justifier des cours en chute libre".
M. al-Sada a aussi ajouté, lors de la conférence de spécialistes du domaine se déroulant à Doha, la capitale du pays, que la stabilité des prix de l'or noir était le but de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole et qu'il était encore trop tôt pour décider si celle-ci déciderait d'injecter une supplément de production sur les marchés lors de sa prochaine réunion, prévue pour juin.
Goldman Sachs a par ailleurs ajouté vendredi que les prix du pétrole avait des chances de remonter et dépasser leurs récents pics au troisième trimestre 2011, l'offre mondiale continuant à diminuer.
La banque d'affaires de Wall Street, qui avait conseillé en avril aux investisseurs "d'assurer les plus-values avant que le marche ne change de cap", a précisé s'attendre à voir le baril s'envoler jusqu'à 130 USD.
Elle a conclu: "Nous continuons à penser que les facteurs fondamentaux de l'offre et de la demande du marché pétrolier vont encore se durcir pendant l'année, et probablement atteindre un niveau critique en début d'année prochaine si la production libyenne devait rester absente du marché."
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont gagné 0.8% pour grimper à 110.86 USD du baril dans le même temps, soit 11.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 99.08 USD le baril en fin de séance asiatique, gagnant 1%.
Ils avaient auparavant culminé à 99.25 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 1.2% de progression.
Des chiffres officiels ont en effet montré vendredi l'ajout de 244 000 postes à la masse salariale non agricole américaine, soit nettement plus que les 185 000 prévus, l'emploi du secteur privé enregistrant sa meilleure performance en cinq ans.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.43% pour se situer à 74.84, retombant de son pic des deux dernières semaines.
Mohammed bin Saleh al-Sada, ministre du pétrole du Qatar, a déclaré en fin de semaine que l'économie mondiale n'était "pas assez faible pour justifier des cours en chute libre".
M. al-Sada a aussi ajouté, lors de la conférence de spécialistes du domaine se déroulant à Doha, la capitale du pays, que la stabilité des prix de l'or noir était le but de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole et qu'il était encore trop tôt pour décider si celle-ci déciderait d'injecter une supplément de production sur les marchés lors de sa prochaine réunion, prévue pour juin.
Goldman Sachs a par ailleurs ajouté vendredi que les prix du pétrole avait des chances de remonter et dépasser leurs récents pics au troisième trimestre 2011, l'offre mondiale continuant à diminuer.
La banque d'affaires de Wall Street, qui avait conseillé en avril aux investisseurs "d'assurer les plus-values avant que le marche ne change de cap", a précisé s'attendre à voir le baril s'envoler jusqu'à 130 USD.
Elle a conclu: "Nous continuons à penser que les facteurs fondamentaux de l'offre et de la demande du marché pétrolier vont encore se durcir pendant l'année, et probablement atteindre un niveau critique en début d'année prochaine si la production libyenne devait rester absente du marché."
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont gagné 0.8% pour grimper à 110.86 USD du baril dans le même temps, soit 11.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.