Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, le renouveau de l'espoir de progrès dans la lutte contre la crise de la dette de la zone euro augmentant l'attrait des investissements les plus risqués.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour grimper à 1.3445.
La monnaie unique a retrouvé des partisans alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, devait en effet rencontrer son homologue français afin d'esquisser des propositions communes de durcissement de la discipline budgétaire devant être proposées aux chefs européens lors du sommet de vendredi.
Le moral des investisseurs a également connu un coup de fouet après que Mario Monti, premier ministre italien, ait dévoilé hier une série de mesures de rigueur destinées à économiser 30 milliards d'euros en augmentant notamment les impôts et l'âge de la retraite, et ainsi renflouer les finances accâblées du pays.
Une étude avait toutefois montré dans la matinée que la confiance des investisseurs dans le bloc euro avait davantage plongé qu'il n'avait été craint, demeurant en zone négative pour le cinquième mois consécutif.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5628.
Un rapport avait auparavant indiqué une hausse inattendue de l'activité tertiaire du Royaume-Uni pour novembre, constituant ainsi son onzième mois de progression d'affilée, celle-ci demeurant modeste, la fréquence d'arrivée des nouveaux clients ayant été la plus faible de l'année.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet signalé que son indice des directeurs des achats du secteur était monté à 52.1 contre 51.3 en octobre, et ce alors que les experts craignaient de le voir descendre à 50.6.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 77.94 et l'USD/CHF glissant de 0.02% pour tomber à 0.9211.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 1.0164, l'AUD/USD raflant 0.36% pour monter à 1.0251 et le NZD/USD engrangeant 0.48% pour culminer à 0.7813.
Des informations de spécialistes ont mis en évidence une stagnation du nombres de offres d'emploi publiées en novembre, et d'autres que les profits opérationnels des entreprises nationales avaient davantage reculé au troisième trimestre que prévu.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.27% pour se situer à 78.53.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements rendra en fin de journée son rapport sur l'activité tertiaire, et les autorités feront de même avec le volume des commandes enregistrées par les usines.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour grimper à 1.3445.
La monnaie unique a retrouvé des partisans alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, devait en effet rencontrer son homologue français afin d'esquisser des propositions communes de durcissement de la discipline budgétaire devant être proposées aux chefs européens lors du sommet de vendredi.
Le moral des investisseurs a également connu un coup de fouet après que Mario Monti, premier ministre italien, ait dévoilé hier une série de mesures de rigueur destinées à économiser 30 milliards d'euros en augmentant notamment les impôts et l'âge de la retraite, et ainsi renflouer les finances accâblées du pays.
Une étude avait toutefois montré dans la matinée que la confiance des investisseurs dans le bloc euro avait davantage plongé qu'il n'avait été craint, demeurant en zone négative pour le cinquième mois consécutif.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5628.
Un rapport avait auparavant indiqué une hausse inattendue de l'activité tertiaire du Royaume-Uni pour novembre, constituant ainsi son onzième mois de progression d'affilée, celle-ci demeurant modeste, la fréquence d'arrivée des nouveaux clients ayant été la plus faible de l'année.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet signalé que son indice des directeurs des achats du secteur était monté à 52.1 contre 51.3 en octobre, et ce alors que les experts craignaient de le voir descendre à 50.6.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 77.94 et l'USD/CHF glissant de 0.02% pour tomber à 0.9211.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 1.0164, l'AUD/USD raflant 0.36% pour monter à 1.0251 et le NZD/USD engrangeant 0.48% pour culminer à 0.7813.
Des informations de spécialistes ont mis en évidence une stagnation du nombres de offres d'emploi publiées en novembre, et d'autres que les profits opérationnels des entreprises nationales avaient davantage reculé au troisième trimestre que prévu.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.27% pour se situer à 78.53.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements rendra en fin de journée son rapport sur l'activité tertiaire, et les autorités feront de même avec le volume des commandes enregistrées par les usines.