Investing.com - Les places boursières d'Asie se sont retrouvées en berne ce lundi matin, les craintes générées par des performances décevantes de la part de grandes compagnies régionales continuant à nuire à la désirabilité des actions.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.4%, l'ASX/200 australien grignotant 0.1% et le Nikkei 225 japonais ayant plutôt stagné.
L'ouverture avait pourtant été positive, en réaction aux chiffres de la croissance américaine du troisième trimestre supérieurs aux attentes dévoilés vendredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis avait en effet rapporté vendredi que l'économie nationale avait réalisé une expansion de 2% de début juillet à fin septembre, dépassant légèrement les 1.9% espérés grâce à un renforcement des dépenses des consommateurs, prolongeant ainsi les 1.3% du trimestre précédent.
Mais le moral demeurait malmené par l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance mondiale et de son éventuel impact sur les revenus des entreprises.
A Tokyo, le Nikkei est retombé de son pic journalier après que Honda ait revu ses prévisions de bénéfices pour l'année fiscale depuis 470 jusqu'à 375 milliards de JPY, invoquant des ventes inférieures aux espérances, et le renforcement de la monnaie locale, lui faisant subir un dérapage de 4.65%.
Ses concurrents ont également subi ce pessimisme, Toyota et Nissan glissant respectivement de 1.6 et 2.2%.
L'opérateur de téléphonie mobile NTT DoCoMo a quand à lui plongé de 6% suite au rabaissement de ses profits opérationnels annuels envisagés de près de 9%, pour les amener à 820 milliards de JPY, invoquant une compétition acharnée dans ce domaine.
L'indice continuait cependant à bénéficier de rumeurs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, qui filaient bon train dans l'expectative de sa prise de cap du 30 octobre.
A Hong Kong, les promoteurs immobiliers étaient les lanternes rouges, après la mise en place d'une taxe de 15% sur les achats immobiliers effectués par les étrangers ou les entreprises, destinée à juguler la fièvre touchant ce domaine.
Sino Land shares a ainsi sombré de 6.6%, et Henderson Land Development de 6.75%, tandis que Sun Hung Kai et New World Development limitaient les dégâts à 5.4% et 6.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigé, les opérateurs guettant toujours des signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et activer du même coup le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 laissaient entrevoir une hausse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français faisant redouter 0.75% de pertes, celles sur le DAX 30 allemand s'acheminant vers une avancée de 0.2% et celles sur le FTSE 100 britannique semblant trébucher de 0.25%.
L'Allemagne comptait dévoiler aujourd'hui avec son évolution des prix à la consommation, tandis que le gouvernement des Etats-Unis prévoyait de son côté de fournir ses informations au sujet des revenus et des dépenses des ménages.
Le volume des échanges avait pour sa part toutes les chances de rester réduit, en raison de la première fermeture impromptue des marchés américains depuis septembre 2001, alors que le nord-est des Etats-Unis se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.4%, l'ASX/200 australien grignotant 0.1% et le Nikkei 225 japonais ayant plutôt stagné.
L'ouverture avait pourtant été positive, en réaction aux chiffres de la croissance américaine du troisième trimestre supérieurs aux attentes dévoilés vendredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis avait en effet rapporté vendredi que l'économie nationale avait réalisé une expansion de 2% de début juillet à fin septembre, dépassant légèrement les 1.9% espérés grâce à un renforcement des dépenses des consommateurs, prolongeant ainsi les 1.3% du trimestre précédent.
Mais le moral demeurait malmené par l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance mondiale et de son éventuel impact sur les revenus des entreprises.
A Tokyo, le Nikkei est retombé de son pic journalier après que Honda ait revu ses prévisions de bénéfices pour l'année fiscale depuis 470 jusqu'à 375 milliards de JPY, invoquant des ventes inférieures aux espérances, et le renforcement de la monnaie locale, lui faisant subir un dérapage de 4.65%.
Ses concurrents ont également subi ce pessimisme, Toyota et Nissan glissant respectivement de 1.6 et 2.2%.
L'opérateur de téléphonie mobile NTT DoCoMo a quand à lui plongé de 6% suite au rabaissement de ses profits opérationnels annuels envisagés de près de 9%, pour les amener à 820 milliards de JPY, invoquant une compétition acharnée dans ce domaine.
L'indice continuait cependant à bénéficier de rumeurs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, qui filaient bon train dans l'expectative de sa prise de cap du 30 octobre.
A Hong Kong, les promoteurs immobiliers étaient les lanternes rouges, après la mise en place d'une taxe de 15% sur les achats immobiliers effectués par les étrangers ou les entreprises, destinée à juguler la fièvre touchant ce domaine.
Sino Land shares a ainsi sombré de 6.6%, et Henderson Land Development de 6.75%, tandis que Sun Hung Kai et New World Development limitaient les dégâts à 5.4% et 6.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigé, les opérateurs guettant toujours des signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires régionaux et activer du même coup le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 laissaient entrevoir une hausse de 0.15%, celles sur le CAC 40 français faisant redouter 0.75% de pertes, celles sur le DAX 30 allemand s'acheminant vers une avancée de 0.2% et celles sur le FTSE 100 britannique semblant trébucher de 0.25%.
L'Allemagne comptait dévoiler aujourd'hui avec son évolution des prix à la consommation, tandis que le gouvernement des Etats-Unis prévoyait de son côté de fournir ses informations au sujet des revenus et des dépenses des ménages.
Le volume des échanges avait pour sa part toutes les chances de rester réduit, en raison de la première fermeture impromptue des marchés américains depuis septembre 2001, alors que le nord-est des Etats-Unis se trouvait sous la menace de l'ouragan Sandy.