Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, en attendant la divulgation des chiffres de l'emploi et de l'inflation des Etats-Unis, tandis que l'euro se trouvait largement affaibli par le retour du spectre de la crise de la dette souveraine.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.36% pour descendre à 1.439.
Le coût de l'assurance sur les défauts de paiement de la dette grecque avait auparavant atteint son plus haut niveau de toute l'existence de l'euro, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la dette hellène pourrait devoir être restructurée suite à un audit prévu pour juin.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.32% pour se hisser à 1.6321.
La banque mutuelle Nationwide Building Society avait en effet précédemment annoncé que son indice de confiance des consommateurs avait rebondi en mars.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 0.96% pour se retrouver à 83.01 et l'USD/CHF glissant de 0.31% pour tomber à 0.8935.
Le centre de recherches économiques européen ZEW avait fait savoir ce matin que la confiance des investisseurs suisses avait bondi en avril à son plus haut niveau en 8 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.35% pour aller vers 0.9656, l'AUD/USD trébuchant de 0.16% pour descendre à 1.049 et le NZD/USD se laissant grignoter 0.03% pour déraper à 0.7889.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître en cours de journée le nombre officiel de leurs nouvelles inscriptions au chômage et leur inflation des prix à la production.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.36% pour descendre à 1.439.
Le coût de l'assurance sur les défauts de paiement de la dette grecque avait auparavant atteint son plus haut niveau de toute l'existence de l'euro, après que Wolfgang Schaeuble, ministre des finances allemand, ait déclaré que la dette hellène pourrait devoir être restructurée suite à un audit prévu pour juin.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.32% pour se hisser à 1.6321.
La banque mutuelle Nationwide Building Society avait en effet précédemment annoncé que son indice de confiance des consommateurs avait rebondi en mars.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 0.96% pour se retrouver à 83.01 et l'USD/CHF glissant de 0.31% pour tomber à 0.8935.
Le centre de recherches économiques européen ZEW avait fait savoir ce matin que la confiance des investisseurs suisses avait bondi en avril à son plus haut niveau en 8 mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.35% pour aller vers 0.9656, l'AUD/USD trébuchant de 0.16% pour descendre à 1.049 et le NZD/USD se laissant grignoter 0.03% pour déraper à 0.7889.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître en cours de journée le nombre officiel de leurs nouvelles inscriptions au chômage et leur inflation des prix à la production.