Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après que la notation monétaire américaine ait été remise en cause en vue d'une posible dégradation et que de nouvelles mesures stimulatrices aient été envisagées.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.51% pour grimper à 1.4235.
L'agence Fitch a pour sa part rabaissé de trois crans son évaluation de la Grèce jusqu'à CCC, lui attribuant la pire de tous les pays du monde, précisant qu'un défaut de paiement était une "possibilité tangible".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.14% pour se hisser à 1.6126.
Il a d'autre part avancé laborieusement sur le yen et subi la pression du franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.05% pour se retrouver à 79.04 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.8079, un nouveau plancher historique.
Il a en effet regagné du terrain sur a devise nippone ce jeudi, s'extrayant d'un creux des quatre derniers mois après que le ministre des finances japonais ait déclaré que la force de celui-ci ne reflétait pas les facteurs économiques fondamentaux, attisant les rumeurs d'une intervention destinée à en juguler la flambée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 0.9581, l'AUD/USD arrachant 0.03% pour monter à 1.0751 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.8455, son record des 26 dernières années.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande avait gonflé de 0.8% au premier trimestre 2011, dépassant largement les 0.3% attendus et les 0.2% enregistrés lors du précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.44% pour se situer à 75.21.
L'agence Moody's Investor Service avait en effet annoncé dans la soirée de mercredi le placement de la notation Aaa des obligations américaines sous surveillance en vue d'une possible dégradation, invoquant une risque "faible mais en augmentation" d'un défaut de paiement de courte durée suite à l'impasse dans laquelle se trouve le congrès américain concernant l'augmentation du plafond de la dette nationale.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré que celle-ci était préparée à stimuler de nouveau l'économie du pays, et averti que si les représentants ne réussissaient pas à trouver un accord relevant le plafond de la dette, des "ondes de choc" secoueraient le système financier.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.51% pour grimper à 1.4235.
L'agence Fitch a pour sa part rabaissé de trois crans son évaluation de la Grèce jusqu'à CCC, lui attribuant la pire de tous les pays du monde, précisant qu'un défaut de paiement était une "possibilité tangible".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.14% pour se hisser à 1.6126.
Il a d'autre part avancé laborieusement sur le yen et subi la pression du franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.05% pour se retrouver à 79.04 et l'USD/CHF glissant de 0.36% pour tomber à 0.8079, un nouveau plancher historique.
Il a en effet regagné du terrain sur a devise nippone ce jeudi, s'extrayant d'un creux des quatre derniers mois après que le ministre des finances japonais ait déclaré que la force de celui-ci ne reflétait pas les facteurs économiques fondamentaux, attisant les rumeurs d'une intervention destinée à en juguler la flambée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 0.9581, l'AUD/USD arrachant 0.03% pour monter à 1.0751 et le NZD/USD engrangeant 0.96% pour culminer à 0.8455, son record des 26 dernières années.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande avait gonflé de 0.8% au premier trimestre 2011, dépassant largement les 0.3% attendus et les 0.2% enregistrés lors du précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.44% pour se situer à 75.21.
L'agence Moody's Investor Service avait en effet annoncé dans la soirée de mercredi le placement de la notation Aaa des obligations américaines sous surveillance en vue d'une possible dégradation, invoquant une risque "faible mais en augmentation" d'un défaut de paiement de courte durée suite à l'impasse dans laquelle se trouve le congrès américain concernant l'augmentation du plafond de la dette nationale.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré que celle-ci était préparée à stimuler de nouveau l'économie du pays, et averti que si les représentants ne réussissaient pas à trouver un accord relevant le plafond de la dette, des "ondes de choc" secoueraient le système financier.