Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à tous ses plus gros concurrents ce jeudi, après que les autorités du Japon soient intervenues sur le marché des changes afin de juguler la flambée du yen et de soutenir une économie fortement dépendante des exportations.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.68% pour tomber à 1.4227.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant annoncé le maintien sans surprise de son taux d'intérêt directeur à 1.5%.
L'Espagne a dû emprunter ce matin à des taux en hausse, ravivant le spectre de la contamination de la région par la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.56% pour chuter à 1.6334.
La Banque d'Angleterre avait fait connaître aujourd'hui sa décision largement attendue de maintenir son taux d'intérêt directeur à 0.5%.
Le yen et le franc suisse ont aussi nettement subi sa pression, l'USD/JPY s'envolant de 3.31% pour se hisser à 79.6 et l'USD/CHF gagnant 0.49% pour culminer à 0.7741.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a confirmé ce matin que le pays avait agi afin de limiter l'ascension de la monnaie nationale pour la première fois depuis mars, faisant plonger celle-ci contre toutes ses homologues les plus importantes.
Cette action a été effectuée au lendemain du rabaissement du taux des prêts de la Banque Nationale Suisse vers une fourchette plus étroite, après avoir déclaré que la devise helvète était "fortement surévaluée".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.99% pour monter à 0.9716, l'AUD/USD cédant 1.76% pour se retrouver à 1.0564 et le NZD/USD se laissant arracher 1.7% pour toucher le fond à 0.8488.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 1.06% pour se situer à 74.99.
Les Etats-Unis devaient quand à eux divulguer aujourd'hui le nombre de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.68% pour tomber à 1.4227.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant annoncé le maintien sans surprise de son taux d'intérêt directeur à 1.5%.
L'Espagne a dû emprunter ce matin à des taux en hausse, ravivant le spectre de la contamination de la région par la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.56% pour chuter à 1.6334.
La Banque d'Angleterre avait fait connaître aujourd'hui sa décision largement attendue de maintenir son taux d'intérêt directeur à 0.5%.
Le yen et le franc suisse ont aussi nettement subi sa pression, l'USD/JPY s'envolant de 3.31% pour se hisser à 79.6 et l'USD/CHF gagnant 0.49% pour culminer à 0.7741.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a confirmé ce matin que le pays avait agi afin de limiter l'ascension de la monnaie nationale pour la première fois depuis mars, faisant plonger celle-ci contre toutes ses homologues les plus importantes.
Cette action a été effectuée au lendemain du rabaissement du taux des prêts de la Banque Nationale Suisse vers une fourchette plus étroite, après avoir déclaré que la devise helvète était "fortement surévaluée".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.99% pour monter à 0.9716, l'AUD/USD cédant 1.76% pour se retrouver à 1.0564 et le NZD/USD se laissant arracher 1.7% pour toucher le fond à 0.8488.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 1.06% pour se situer à 74.99.
Les Etats-Unis devaient quand à eux divulguer aujourd'hui le nombre de leurs nouvelles inscriptions au chômage.